
police - Toute l'info et l'actualité sur Europe 1.
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Selon David Le Bars, secrétaire général du syndicat des commissaires de la police nationale, invité d'Europe 1, dimanche soir, les responsabilités de l'affaire Benalla doivent être établies "à un un autre niveau" que celle des trois policiers mis en cause.
Il s'agit de la première mise en examen dans l'affaire Alexandre Benalla, collaborateur d'Emmanuel Macron soupçonné de s'être livré à des violences en marge d'une opération de police le 1er mai.
Dans une interview au JDD, le député de la France Insoumise juge que "le problème, c'est que le chef de l'État a visionné la vidéo et confirmé la sanction" dans l'affaire Benalla.
La garde à vue d'Alexandre Benalla, de Vincent Crase et des trois policiers mis en cause dans l'affaire du 1er mai a été levée samedi soir. Ils devraient être présentés dimanche à un juge d'instruction.
Selon les informations d'Europe 1, les deux victimes présumées ont demandé à être entendues plus tard par les enquêteurs.
Les proches du jeune homme, mort à la suite de son interpellation il y a deux ans, défilaient dimanche à Beaumont-sur-Oise, avec le soutien de toutes les formations politiques de gauche.
"Leur comportement laissait paraître que c'est eux qui commandaient l'opération", estime l'auteur des images qui ont fait éclater l'affaire à propos d'Alexandre Benalla et de Vincent Crase.
Les deux mineurs qui ont reconnu avoir frappé un adjoint de sécurité jeudi à Bastia vont comparaître en octobre prochain devant un juge pour enfants pour "violence volontaire en réunion". Ils sont également poursuivis pour avoir frappé deux serveurs, la même soirée, lors d'une rixe.
Les trois policiers soupçonnés d'avoir transmis à Alexandre Benalla les images de vidéosurveillance qui montrent la scène de violence place de la Contrescarpe sous un autre angle, ont été placés en garde à vue.
Alertés par des proches inquiets de ne plus avoir de nouvelles "depuis deux-trois jours", les pompiers ont retrouvé l'homme dans la salle de bains de son domicile.
Filmé en train de frapper un manifestant le 1er mai dernier, Alexandre Benalla, un collaborateur d'Emmanuel Macron, a été placé en garde à vue vendredi. L'Élysée, de son côté, a annoncé son licenciement. Plus de deux mois et demi après les faits.
Au sein de l'Assemblée nationale et du Sénat, deux commissions distinctes vont enquêter dans les prochains jours sur les accusations de violences qui visent un collaborateur d'Emmanuel Macron.
Le collaborateur d'Emmanuel Macron est notamment soupçonné de violences en réunion, d'usurpation de fonctions et de port illégal d'insignes réservés à l'autorité publique.
Filmée depuis l'autre côté de la rue, une deuxième vidéo de la scène impliquant l'adjoint au chef de cabinet d'Emmanuel Macron montre qu'il s'en est d'abord pris à une jeune femme.
Selon les informations de France Inter, le ministre de l'Intérieur a été mis au courant des violences commises par le collaborateur d'Emmanuel Macron dès le 2 mai, au lendemain des faits.
Les demandes de création d'une commission d'enquête sur les incidents ayant émaillé le 1er-Mai à Paris ont été relancées jeudi par des députés Insoumis, communistes et socialistes.
Le collaborateur d'Emmanuel Macron a été sanctionné en interne après avoir frappé un manifestant lors d'un rassemblement du 1er-Mai. Mais les services de la présidence n'ont pas prévenu le parquet, comme le prévoit pourtant la loi.
Le syndicat majoritaire chez les gardiens de la paix, Alliance, déplore jeudi que "l'image de la police soit ternie" après l'affaire Alexandre Benalla.
L'ancien responsable de la sécurité de la campagne présidentielle d'Emmanuel Macron, aujourd'hui employé à l'Élysée, se trouve au cœur d'une vive polémique après la révélation d'une vidéo où on le voit frapper un manifestant.
Mercredi après-midi, un braqueur armé s'est retranché sur le chantier de la Samaritaine, dans le VIIème arrondissement de Paris. Il n'a pas été retrouvé.
Dimanche, peu après 20h, trois enfants de 3, 6 et 9 ans avaient été renversés, le soir de la finale, par un scooter "alors qu'ils traversaient, accompagnés de deux adultes, un passage protégé".
"Cet homme s'est cru autorisé à me mettre une main aux fesses du fait de la liesse générale" : sur Twitter, des dizaines de femmes ont raconté le harcèlement ou les agressions dont elles ont été victimes après la victoire des Bleus.
A ce stade, une seule garde à vue a été menée, celle du frère de Redoine Faïd, qui a été relâché sans aucune poursuite.
Plusieurs incidents opposants les forces de l'ordres à des groupes de "casseurs" ont éclaté dans différentes villes de France. La soirée a également été endeuillée par plusieurs accidents mortels.
Les victimes ont été transportées à l'hôpital, tandis que le conducteur de la moto aurait pris la fuite.
Le policier accusé d'avoir frappé un détenu au tribunal de grande instance de Paris a été mis en examen samedi pour "violences", et libéré sous contrôle judiciaire.
Une "petite bouteille" contenant du Novitchok, l'agent innervant qui a empoisonné un couple de Britanniques à Amesbury, a été retrouvé, selon la police britannique.
Les conseils réclament un "juste milieu" dans le traitement de cette affaire après les conclusions d'un deuxième collège d'experts psychiatres, concluant à l'abolition du discernement de Kobili T., suspect du meurtre.
Cette présence supplémentaire de policier vise à "renforcer la sécurité" des habitants de Toronto.
Le policier aperçu, dans une vidéo diffusée en ligne, en train de frapper un détenu dans une cellule du tribunal de grande instance de Paris, a été suspendu et placé en garde à vue.