
Syrie - Toute l'info et l'actualité sur Europe 1.
Syrie - Toute l'info et l'actualité sur Europe 1.
"Ramenons-les en France, c'est notre devoir le plus absolu", a exhorté le président d'honneur de la Ligue des droits de l'Homme, dimanche sur BFMTV.
Le début de l'assaut final contre l'ultime bastion du groupe Etat islamique en Syrie a démarré vendredi. Les Forces démocratiques syriennes ne font aucun pronostic sur la durée des combats.
L'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques a indiqué dans un rapport publié vendredi que de la chlorine, un agent chimique toxique, avait été utilisé comme arme en 2018 lors d'une attaque contre la ville syrienne de Douma.
Les Forces démocratiques syriennes ont lancé vendredi l'assaut final contre le dernier réduit des djihadistes, dans l'Est de la Syrie, a annoncé leur porte-parole sur Twitter.
Dirigée par les États-Unis, la coalition anti-État islamique a confirmé jeudi la mort du djihadiste français, qui avait revendiqué au nom du groupe extrémiste les attentats du 13 novembre 2015 à Paris.
Des grands-parents, des oncles et des tantes de djihadistes français retenus au Kurdistan syrien dénoncent l'"inaction" de l'État auprès du Comité des droits de l'enfant de l'ONU.
Lydie Maninchedda demande à l'État de tout mettre en oeuvre pour faire revenir ses trois petits-enfants de Syrie, dont la mère est morte en janvier. "Il y a urgence", martèle la grand-mère sur notre antenne.
Les djihadistes qui occupent le dernier réduit de l'État islamique ont libéré des femmes et des enfants. Les épouses des combattants gardent une détermination intacte vis-à-vis du califat.
Les forces arabo-kurdes de Syrie ont remis aux autorités irakiennes quatorze combattants de l'État islamique de nationalité française.
Les forces arabo-kurdes encerclent le bastion djihadiste de Baghouz, à l'est de la Syrie. Plusieurs centaines de combattants aguerris y sont retranchés dans l'attente des derniers combats. Notre envoyé spécial Didier François décrit les lieux.
Alors que les États-Unis ont annoncé le retrait de leurs troupes de Syrie, une décision largement critiquée par les Européens, ils ont indiqué jeudi qu'ils maintiendraient "un petit groupe de maintien de la paix d'environ 200 soldats".
Le président américain Donald Trump a refusé le retour aux États-Unis d'une fille de diplomate née aux États-Unis et partie en Syrie pour rejoindre l'EI. La jeune femme de 24 ans aurait pris une part active dans la propagande djihadiste.
Invitée de la matinale d'Europe 1 mercredi, Véronique Roy, mère d'un jeune Français parti faire le djihad en Syrie en 2014, estime que le retour des combattants sur le sol national et leur traduction en justice est nécessaire pour comprendre les ressorts de la radicalisation.
Les ministres de la Défense des pays membres de la coalition anti-Daech se retrouvaient à Munich pour discuter de l'avenir de la Syrie après la victoire sur l'EI et le retrait des troupes américaines.
Interpellé mardi, l'homme âgé de 30 ans, est soupçonné d'avoir participé aux exactions commises contre les populations civiles par le régime syrien entre 2011 et 2013, alors qu'il était membre des services de renseignement.
L'homme d'une trentaine d'années avait été arrêté en région parisienne mardi. Il est soupçonné de crimes contre l'humanité entre 2011 et 2013.
L'écrivain Patrice Franceschi s'est rendu en Syrie, où il a notamment rencontré des femmes djihadistes françaises. Il estime au micro de Nikos Aliagas sur Europe 1, que la France "n'a pas tellement le choix" et doit les rapatrier mais que ce sont "des bombes à retardement qu'il faudra gérer".
Les ministres de la Défense des pays membres de la coalition anti-Daech se retrouvent vendredi à Munich pour discuter de l'avenir de la Syrie après la victoire sur l'EI et le retrait des troupes américaines.
Samia Maktouf, avocate d'enfants orphelins de djihadistes et de familles de victimes d'attentats, estime sur Europe 1 que rapatrier en France les quelque 150 Français détenus en Syrie "n'est pas leur donner un blanc-seing".
Les djihadistes sont aujourd'hui acculés dans un ultime réduit dans l'est syrien, où ils sont la cible d'une offensive des Forces démocratiques syriennes (FDS).
Les journalistes Nicolas Hénin et Didier François sont attendus jeudi à Bruxelles pour témoigner au procès de Mehdi Nemmouche, qui était leur geôlier lors de leur captivité en Syrie.
Lundi, le Sénat américain a adopté un amendement critiquant le retrait des troupes américaines de Syrie et d'Afghanistan décidé par Donald Trump.
L'immeuble qui s'est effondré samedi se situait dans un quartier qui était contrôlé par les rebelles avant sa reprise, en 2016, par les forces du régime de Bachar al-Assad.
Faut-il les rapatrier en France pour les juger ? Et si oui, comment ? Depuis l’annonce du départ des Américains de Syrie, la question du devenir des djihadistes français en Syrie est de plus en plus brûlante. Et complexe.
Alors que 130 djihadistes français pourraient être rapatriés dans les prochaines semaines, les populations des camps au nord de la Syrie attendent des indices sur ce retour.
Alors que le retrait des troupes américaines de Syrie pourrait conduire à la libération de djihadistes français, la France envisage désormais de les rapatrier pour les remettre à la justice.
Selon une information de BFMTV, dans les prochaines semaines, 150 djihadistes actuellement détenus dans des camps en Syrie vont être rapatriés en France.
Le territoire du groupe État islamique en Syrie ne cesse de se réduire. Alors les familles évacuent et les derniers djihadistes se rendent aux forces kurdes avant que celles-ci ne passent à l'offensive. L'envoyée spéciale d'Europe 1 s'est rendue auprès de ces familles.
Les dernières poches du soi-disant "califat" de l'État islamique auront disparu dans un mois, a déclaré vendredi le commandant en chef des Forces démocratiques syriennes.
En annonçant le retrait des troupes américaines de Syrie, mi-décembre, Donald Trump a fragilisé le sort des Kurdes, au nord du pays, déjà pris en tenaille entre la Turquie et le régime de Bachar al-Assad.