
Syrie - Toute l'info et l'actualité sur Europe 1.
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L'opération menée dans la nuit par les Etats-Unis, le Royaume Uni et la France "ne visait pas la Russie", alliée de poids du régime de Bachar al-Assad, a déclaré l'Elysée.
Le chef de file de la France Insoumise s'est insurgé samedi matin sur Twitter contre les frappes menées en Syrie par la France, les Etats-Unis et le Royaume-Uni.
Lors d'une conférence de presse, la Première ministre britannique a déclaré que que ces frappes étaient "à la fois justes et légales".
Angela Merkel a notamment apporté son "soutien" à une "intervention militaire nécessaire et appropriée".
Invité d'Europe 1, l'ancien ministre des Affaires étrangères souligne le rôle crucial que pourrait avoir la France pour réinventer une politique avec la Russie.
Des médias étatiques syriens ont rapporté samedi l'entrée de forces de sécurité du régime dans la ville de Douma, ultime fief rebelle de la Ghouta orientale.
Ce samedi, les journaux compilés par Bruno Donnet évoquent la guerre en Syrie.
"La Russie convoque une réunion d'urgence pour évoquer les actions agressives des Etats-Unis et de leurs alliés", annonce le Kremlin.
Samedi matin, le guide iranien Khamenei a qualifié de "criminels" Donald Trump, Emmanuel Macron et Theresa May, qui ont décidé de mener dans la nuit des frappes ciblées contre la Syrie.
Ankara salue "une opération qui exprime la conscience de l'humanité tout entière face à l'attaque de Douma".
Ce samedi, Catherine Nay décrypte les conséquences des frappes conjointes de la France, des Etats-Unis et du Royaume-Uni sur l'image d'Emmanuel Macron.
Didier François, journaliste spécialiste de la défense pour Europe 1, analyse l'opération menée en Syrie dans la nuit de vendredi à samedi par la France, le Royaume-Uni et les Etats-Unis.
Les Etats-Unis, la France et le Royaume-Uni sont passés à l'action cette nuit en Syrie. C'est le programme chimique clandestin du régime syrien qui a été visé.
L'ambassadeur de la Russie à Washington, Anatoli Antonov a déploré les frappes conjointes des Etats-Unis, de la France et de la Grande-Bretagne contre la Syrie.
Le ministère des Affaires étrangères du régime syrien dénonce les frappes commises contre le régime par les Etats-Unis, la France et la Grande-Bretagne dans la nuit de vendredi à samedi.
Le ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian et la ministre des Armées Florence Parly se sont exprimés depuis l'Elysée samedi matin.
Le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres a appelé à faire preuve de retenue après les frappes des Etats-Unis, de la France et du Royaume-Uni contre la Syrie.
Le chef de l'OTAN, Jens Stoltenberg, a déclaré "soutenir les actions prises par les Etats-Unis, le Royaume-Uni et la France contre les installations et capacités d'armes chimiques du régime syrien.
Les États-Unis, la France et le Royaume-Uni ont mené samedi des frappes ciblées contre la Syrie, quelques jours après une attaque chimique attribuée au régime de Bachar al-Assad. La Russie, soutien du président syrien, a vivement condamné cette opération.
Le régime syrien continue de nier tout usage d'armes chimiques, alors que les Occidentaux hésitent à décider d'éventuelles frappes de représailles.
Le président russe s'est entretenu vendredi avec Emmanuel Macron, alors que les Occidentaux hésitent à lancer des frappes contre le régime syrien.
Au cours d'un entretien téléphonique avec le président russe, Emmanuel Macron a dit sa volonté de "poursuivre" et "intensifier" leur concertation sur le dossier syrien.
Quelques heures plus tôt, le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov avait déjà pointé la responsabilité des "services spéciaux d'un État russophobe".
Les Kurdes détiennent une centaine de djihadistes français, capturés lors de l'offensive contre Daech. Ils ne veulent plus les gérer.
Dans la Matinale d'Europe 1 vendredi, Christian Jacob, président du groupe LR à l'Assemblée nationale, a demandé à ce que l'éventualité d'une riposte française en Syrie doit discutée au parlement.
François Clemenceau revient chaque matin sur un évènement international au micro d'Europe 1 Bonjour.
Lors d'une réunion à huit clos jeudi du Conseil de sécurité, l'ambassadeur russe à l'ONU a dit vouloir "éviter" une guerre avec les Etats-Unis.
Cette annonce intervient alors que les États-Unis et leurs alliés accusent le régime d'avoir perpétré une attaque à l'arme chimique sur les rebelles occupant Douma le 7 avril.
Washington et Moscou se sont engagés mercredi dans un face-à-face de plus en plus tendu sur le dossier syrien.
"Nous devons maintenant reconnaître qu'il est évident que la destruction (des armes chimiques syriennes) n'a pas été totale", a déclaré la chancelière devant la presse à Berlin.