
Compagnies républicaines de sécurité - Toute l’actualité sur Europe1.
Compagnies républicaines de sécurité - Toute l’actualité sur Europe1.
Pour faire face à une hausse de la délinquance à Bordeaux, une trentaine de CRS venus de la région parisienne ont été dépêchés en renfort à Bordeaux pour 15 jours. Une mesure jugée insuffisante pour le maire de la ville, Pierre Hurmic.
Imprécision dans le tir, manque de confiance dans l'équipement, peur des conséquences... certains membres des forces de l'ordre commencent à critiquer l'utilisation du LBD. Si, pour l'instant, aucun n'a refusé catégoriquement de s'en servir, une réticence existe belle et bien. Europe 1 a pu...
Symboliquement, plusieurs CRS ont déposé casques et matraques devant leur casernement à Pondorly, au sud de Paris, lundi matin. Par ce geste, ils ont voulu indiquer leur soutien à la mobilisation du 5 décembre contre la réforme des retraites.
Le 1er mai dernier, lors d'une journée de mobilisation sociale agitée, ce CRS avait lancé un pavé en direction de manifestants. Le parquet a requis jeudi trois mois de prison avec sursis. Le jugement est prévu au 19 décembre.
Aucun manifestant n'a été blessé par le geste de ce CRS, filmé par un journaliste indépendant, et qui ne s'est pas dénoncé dans l'immédiat auprès de sa hiérarchie par crainte des sanctions.
Selon les autorités, un cortège de militants radicaux "black bloc" s'est constitué au sein de la marche dont le départ était prévu à 14h
Dans le village de vacances du domaine de Françon, 115 CRS ont remplacé les habituels touristes. Ils font partie des 13.200 personnes mobilisées pour la sécurisation du G7 qui s'ouvre samedi à Biarritz.
Le parquet de Paris a ouvert une enquête judiciaire et confié les investigations à la police des polices, bien qu'aucune plainte n'ait été déposée à ce stade.
Les fausses informations diffusées sur Facebook au sein des groupes de "gilets jaunes" ont été vues plus de 100 millions de fois, selon une étude de l'ONG Avaaz.
Une nuit d'émeutes émaillée de violences envers un cantonnement de CRS a éclaté à Grenoble samedi soir, suite à la mort accidentelle de deux jeunes en fuite.
David a été gravement blessé par un tir de LBD, le 1er décembre à Paris. "Ils ont détruit quelques années de ma vie", confie-t-il sur Europe 1.
Cette décision de justice, qui sanctionne la méthode utilisée pour disperser une manifestation, plutôt que le lanceur de la grenade - qui n'a pas été clairement identifié -, pourrait faire jurisprudence.
Dans un texte qu'il a baptisé "Veillée d'armes", Jean-Michel Aphatie a tenu vendredi à exprimer sa tristesse, à la veille d'une journée de mobilisation des "gilets jaunes" qui fait craindre de nouvelles violences.
Après les violences de samedi dernier, les CRS se préparent à une nouvelle journée mouvementée, à la veille de l'acte 4 des "gilets jaunes", alors que les forces de l'ordre semblent être la cible prioritaire des casseurs.
Tous les jours, Fabrice D'Almeida revient sur un fait historique marquant. Aujourd'hui, la création des CRS en 1944.
Le Premier ministre a précisé jeudi soir, au 20H de TF1, que 89.000 membres des forces de l'ordre seront mobilisés samedi en France, dont 8.000 à Paris, pour la quatrième grande journée de manifestations des "gilets jaunes".
Un CRS de 35 ans a été retrouvé mort mardi, dans un parc de Bagnères-de-Bigorre.
Lundi matin tôt, un squat situé près de la gare Saint-Charles a été évacué. Les migrants ont été emmenés dans un gymnase du Nord de la ville.
Un rapport de la Cour des comptes juge leur présence "trop chère", alors que Gérard Collomb souhaite qu'ils se concentrent "sur leurs fonctions régaliennes".
Les CRS étaient intervenus dans une zone industrielle en raison de l'intrusion de migrants dans une entreprise, selon la préfecture du Pas-de-Calais.
Les trentenaires, filmés en train de jeter des projectiles contre les forces de l'ordre place de la Contrescarpe, ont été relâchés après un simple contrôle d'identité. Selon nos informations, ils auraient bénéficié de l'engorgement des commissariats.
Plusieurs enquêtes ont été ouvertes par la justice et les services de l'Etat alors qu'un proche d'Emmanuel Macron est accusé de s'être fait passer pour un policier et d'avoir violemment frappé un homme pendant une manifestation.
Le policier qui a tiré mardi sur un jeune homme, lors d'un contrôle de police à Nantes, a reconnu avoir menti lors de sa première audition. Selon son avocat, s'il a d'abord invoqué la légitime défense, "c'est par "déni", explique-t-il samedi sur Europe 1.
Le policier placé en garde à vue après avoir fait usage de son arme sur un jeune Nantais mardi avait d'abord évoqué une situation de légitime défense.
Mathilde Robert avait dénoncé en avril certaines pratiques des forces de l'ordre comme le fait de déverser des seaux d'eau dans les tentes des migrants. La préfecture conteste et menace de porter plainte pour "diffamation".
Alors que la polémique sur l'anticipation des débordements survenus en marge du défilé du 1er-Mai perdure, des membres du fameux "cortège de tête" témoignent de leurs méthodes dans les médias.
Un homme a tiré sur des CRS à Carcassonne, vendredi matin, avant de prendre en otage les clients d'un supermarché. Au moins trois morts et seize blessés sont à déplorer. L'assaillant a été tué. L'Etat islamique a revendiqué les attaques.
Originaires de la région parisienne, l'homme de 43 ans et sa fille skiaient sur une piste fermée en raison du risque d'avalanche, dans le secteur du glacier du Pisaillas.
Les CRS se plaignaient publiquement de leurs conditions de travail depuis plusieurs semaines, de quoi agacer l'Elysée.
Vers 15 heures jeudi, des heurts ont éclaté entre des migrants et des CRS à Calais, lors d'une opération "anti-squat" consistant à enlever les "installations" des migrants.