Date de création : 17 novembre 2002 (UMP) changement de nom le 30 mai 2015
Fondateurs : Jacques Chirac et Alain Juppé
Secrétaire général actuel : Bernard Accoyer
Positionnement : Droite
Nombre de députés : 199/577
Nombre de sénateurs : 144/348
Date de création : 17 novembre 2002 (UMP) changement de nom le 30 mai 2015
Fondateurs : Jacques Chirac et Alain Juppé
Secrétaire général actuel : Bernard Accoyer
Positionnement : Droite
Nombre de députés : 199/577
Nombre de sénateurs : 144/348
Le patron des Républicains s'est dit mercredi pour la tenue d'un référendum sur l'immigration en France, et revendique entre-autres une remise en cause du droit du sol.
Le président du groupe LR à l'Assemblée, Christian Jacob, a annoncé lundi la position de sa famille politique.
"La révision constitutionnelle ne pourra pas se faire sur l'abaissement des pouvoirs du Parlement", a prévenu Gérard Larcher, le président du Sénat.
Invitée d'Europe 1, la vice-présidente du parti Les Républicains s'interroge sur l'influence des Etats-Unis dans la décision d’Emmanuel Macron de frapper le régime de Damas.
Invité du 20 Heures de France 2 lundi soir, le président des Républicains a fustigé Emmanuel Macron sur la hausse de la CSG.
Les Républicains n'ont pas été convaincus par l'interview présidentielle, menée par Jean-Jacques Bourdin et Edwy Plenel.
Annie Genevard, secrétaire générale des Républicains estime qu'en voulant casser les habitudes de l'interview présidentielle, Emmanuel Macron a fait passer la forme avant le fond.
L'alliance avec le Front national "serait une faute pour un parti politique qui a toujours veillé à ne pas tomber dans la démagogie et l'intolérance", estime Virginie Calmels.
"La priorité du président doit être de lutter contre les islamistes", estime le patron des Républicains.
Le Conseil constitutionnel a annulé le scrutin car le sénateur LR avait exercé des fonctions qui le rendaient inéligibles.
Alain Juppé, qui a pris ses distances avec Les Républicains, a rencontré mercredi à huit clos les membres du parti Agir, proche de la majorité.
Après la démission de Christophe Billan en novembre dernier, l'élue LR des Yvelines Laurence Trochu prend la tête du mouvement Sens Commun.
L'ancien Premier ministre, en désaccord avec la ligne prônée par Laurent Wauquiez, a pris ses distances avec Les Républicains.
Le président du Sénat a tout fait pour peser sur les arbitrages de la réforme constitutionnelle. Négociateur hors pair, il espère encore gagner quelques gages supplémentaires.
Cette proposition de loi issue du Sénat avait été vidée de sa substance dès son examen en commission.
Le ministre de l'Action et des Comptes publics appelle son ancien collègue des Républicains Thierry Mariani à ne pas rejoindre le Front national.
L'eurodéputé LR juge prioritaire l'application "avec une rigueur maximale" des mesures existantes et davantage de moyens pour les renseignements.
Laurent Wauquiez n'a pas hésité à remettre sur la table certaines de ses propositions très droitières après les attaques terroristes de l'Aude. Ce qui a gêné aux entournures des élus de son propre camp.
Dans une interview au "Parisien", le patron LR demande de créer un "délit d'incitation à la haine de la République", mais aussi d'expulser les étrangers fichés S.
L'ancien directeur général de la police nationale, élu LR d'Île-de-France, estime que de nouvelles dispositions législatives permettraient au renseignement français de déceler les individus radicalisés sur le point de passer à l'acte.
Le parti dirigé par Laurent Wauquiez va créer une nouvelle instance qui rassemblera des gaullistes, des libéraux et des centristes. Sa mission : travailler au projet du parti.
Après l'invalidation de son élection en décembre, Jean-Pierre Door, cardiologue qui aura 76 ans le 1er avril et brigue un quatrième mandat, a ravi 67,08%% des suffrages.
Responsables politiques et militants LR ont pris l'exemple de Radouane Lakdim, l'auteur des attaques de Trèbes et Carcassonne, pour tenter de démontrer la nécessité de sanctionner les fichés S avant qu'ils agissent.
Le secrétaire général délégué de LR prône, à l'instar de Laurent Wauquiez, "l'internement des fichés S les plus dangereux".
Pour la députée européenne LR, interrogée vendredi sur Europe 1, la mise en cause de l’ancien chef de l'Etat porte directement atteinte à la République.
Mercredi, le patron des Républicains avait déjà dénoncé la garde à vue "humiliante et inutile" de l'ancien chef de l'État.
Dans les couloirs du Palais Bourbon, les députés de la droite républicaine déplorent ce nouvel épisode judiciaire contre l'ancien leader de LR, précisément quand le parti tente de se reconstruire.
"Le temps des sacrifices est révolu", pour Florence Parly, ministre des Armées. L'effort est "sur-vendu" estiment les Républicains.
Les Républicains vont vendre leur siège rue de Vaugirard, mais en rester locataires, afin de rembourser 80% des dettes du parti.
Face à la réforme du rail, les syndicats de cheminot ont annoncé une mobilisation dure à compter d'avril, avec en moyenne deux jours de grève sur cinq.