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La préfète a estimé que l'expulsion des occupants illégaux de la ZAD allait devenir de plus en plus "compliquée", alors que ce premier jour d'intervention a pris fin à 18 heures.
Dix squats ont été démantelés lundi, au premier jour de l'opération d'expulsion menée sur la ZAD. Des affrontements ont éclaté entre les occupants et les forces de l'ordre.
La préfète de Loire-Atlantique annonce lundi, plus de sept heures après le début de l'opération d'évacuation, que dix squats ont été démantelés.
Bien qu'il soit opposé à l'abandon du projet d'aéroport à Notre-Dame-des-Landes, l'ancien Premier ministre a estimé que "quoi qu'il arrive, la force, l'État de droit, les règles, doivent s'imposer sur ce territoire comme dans tous les autres."
Une partie des gendarmes qui participent à l'évacuation de la Zad lundi sont équipés de caméras pectorales.
Gérard Collomb, ministre de l'Intérieur, répond aux trois questions de Patrick Cohen ce lundi.
Interrogé par Europe 1, le ministre de l'Intérieur espère que l'évacuation des zadistes de Notre-Dame-des-Landes, lancée lundi matin, se passe le "mieux possible".
Les gendarmes mobiles déployés sur place ont tiré des grenades lacrymogènes ainsi que des grenades assourdissantes en réponse à des tirs de projectiles.
L'expulsion des occupants illégaux de la Zad de Notre-Dame-des-Landes a commencé tôt lundi matin.
Tôt lundi matin, 2.500 gendarmes sont arrivés aux abords de la Zad de Notre-Dame-des-Landes pour procéder à l'expulsion des 250 zadistes présents sur place. L'opération d'expulsion a commencé à six heures.
L'expulsion des zadistes, prévue pour le début de la semaine, doit mobiliser environ 2.500 militaires sur plusieurs jours.
"Les terrains doivent retrouver leur vocation agricole", estime le Premier ministre dans un entretien au Parisien, dimanche.
L'Acipa, principale organisation impliquée dans la défense du site, s'est adressée au gouvernement via une lettre d'information samedi soir, alors que le processus d'expulsion est présenté comme imminent.
Une intervention des forces de l'ordre pour expulser les occupants illégaux de la ZAD semble imminente, alors que l'ultimatum fixé par le gouvernement a expiré.
Le gouvernement avait laissé aux zadistes jusqu'à la fin de la trêve hivernale pour quitter Notre-Dame-des-Landes. Ce délai est arrivé à échéance mais l'expulsion ne s'annonce pas si simple.
Toujours furieux après l'abandon du projet d'aéroport à Notre-Dame-des-Landes décidé par le gouvernement, le sénateur de Vendée Bruno Retailleau juge que les zadistes prochainement évacués ont tout de même gagné.
L'évacuation de la Zad de Notre-Dame-des-Landes ressemble de plus en plus à un casse-tête juridique, à la veille de la fin de la trêve hivernale. Selon les zadistes, les procédures légales ne sont pas respectées.
Les travaux de réfection de l'ancienne "route des chicanes", bloquée depuis plus de cinq ans, ont repris lundi et doivent prendre fin mardi après avoir été suspendus à la suite de dégradations.
Quelque 4.000 personnes vivant près de l'actuel aéroport de Nantes-Atlantique ont décidé de jeter symboliquement leur carte d'électeur pour protester contre le non-respect de la consultation populaire de 2016.
Le secrétaire d'État à la Transition écologique Sébastien Lecornu a assuré que les délais de remise en état de la route d'accès au site de Notre-Dame-des-Landes étaient tenus.
"Nous pensons que la solution est une solution individuelle. C'est à chaque personne se déclarant agriculteur exploitant de se mettre en situation de régularisation", a expliqué mardi le secrétaire d'Etat à la Transition écologique Sébastien Lecornu.
Sébastien Lecornu a aussi estimé que les "militants de l'ultra-gauche violente" présents sur le site ne "seront jamais agriculteurs".
Environ 300 opposants à l'ancien projet d'aéroport se sont rendus devant la préfecture de Nantes, lundi, pour demander une gestion collective des terres de la ZAD de Notre-Dame-des-Landes.
Elus, syndicats agricoles et associations sont réunis autour de la préfète lundi. L'objectif : trouver un terrain d'entente à des projets très divergents.
Une plainte a été déposée après ces dégradations. "Il faut que cette route soit rendue à la circulation", souligne la préfète.
Le Premier ministre avait dit le 17 janvier que d'ici le printemps "ceux qui n'ont aucune raison d'être là, ou ils seront partis ou on les expulsera", a rappelé la préfète.
La fin de la trêve hivernale devrait sonner le glas de la présence massive de zadistes. Mais l'évacuation totale ne devrait pas se faire sans heurt.
Une vingtaine de collectivités locales demandent le remboursement des avances réalisées en vue de la construction de l'aéroport à Notre-Dame-des-Landes, projet finalement abandonné par l'exécutif.
La présidente de Région, choquée par l'abandon du projet d'aéroport, souhaite "redéfinir un projet de développement et d'aménagement" pour les Pays-de-la-Loire.
L'eurodéputé écologiste a assisté samedi aux festivités organisées à Notre-Dame-des-Landes pour célébrer l'abandon du projet d'aéroport.