
notre dame des landes - Toute l'info et l'actualité sur Europe 1.
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Alors que les zadistes doivent rencontrer lundi le ministre de l'Agriculture, il reste encore à Notre-Dame-des-Landes des réfractaires au départ. Mardi, les expulsions peuvent recommencer.
Les riverains de la plateforme réclament de longue date la tenue d'un débat public, trois mois après l'abandon du projet de transfert à Notre-Dame-des-Landes.
Les manifestants accusent l'État de "ne rien faire pour les riverains".
"Le gouvernement semble incapable de sortir de cette logique de chantage à l'expulsion et à l'ultimatum qui ne permet pas de construire un vrai dialogue", estime un porte-parole.
Le Premier ministre, invité d'Europe 1, a également indiqué que seuls 28 zadistes avaient déposé en préfecture des dossiers pour régulariser leur situation.
ÉVÉNEMENT - Jeudi, dans "Europe Matin", Patrick Cohen reçoit le Premier ministre pour aborder tous les sujets brûlants d'actualité.
"C'est le gouvernement qui tranchera" sur ce dossier, a déclaré Nicole Klein, la préfète des Pays de la Loire.
Malgré le dépôt des dossiers de projets à long termes des occupants de Notre-Dame-des-Landes, les zadistes s'attendent toujours à une nouvelle démonstration de force de la part du gouvernement.
40 projets de régularisation ont été déposés auprès de la préfecture, mais les zadistes déplorent "l'absence de communication gouvernementale".
Rencontre avec des occupants de la Zad de Notre-Dame-des-Landes, qui ont déposé des dossiers, la semaine dernière, en préfecture, pour défendre leurs différents projets.
L'ultimatum pour se déclarer en préfecture se termine lundi soir. Les zadistes sont divisés sur la marche à suivre.
Invité d'Europe 1, l'eurodéputé LR dénonce "l’enlisement" de l'évacuation des zadistes de Notre-Dame-des-Landes.
La préfecture leur avait demandé de remplir d'ici lundi soir des formulaires individuels, comportant leur nom et les grandes lignes de leur projet agricole ou para-agricole.
Onze jours après le début de l'opération de démantèlement de la ZAD, les habitants mettent en avant le "bordel" de la situation. Des commerçants constatent une baisse de leurs activités.
Tous les matins, Patrick Cohen interroge les personnalités qui font actualité.
Les zadistes les plus modérés seraient prêts à accepter les propositions du gouvernement. Les plus radicaux appellent en revanche à un grand rassemblement.
Nicole Klein, préfète de la région Pays de la Loire et de la Loire-Atlantique, invitée jeudi sur Europe 1, ne comprend pas que les Zadistes refusent les demandes "simples" qui leur sont faites.
Mercredi, le ministre de l'Ecologie a présidé la réunion de médiation avec les zadistes de Notre-Dame-des-Landes. Mais cela n'a pas suffit, pour l'heure, à débloquer la situation.
Le ministre de la Transition écologique a appelé les opposants "à ne pas rentrer dans une spirale de violence", alors qu'une délégation de zadistes a été reçue mercredi à la préfecture de Nantes.
Une délégation d'opposants de la Zad de Notre-Dame-des-Landes était reçue mercredi par la préfecture, et espérait obtenir un "recul du délai" de régularisations.
La Confédération paysanne s'est dite pour la cohabitation de tous les projets agricoles sur la Zad de Notre-Dame-des-Landes, appelant à un arrêt des violences.
La préfète des Pays de la Loire rencontre mercredi une délégation d'occupants de la ZAD de Notre-Dame-des-Landes pour les inciter à se conformer au processus de régularisation.
Les occupants de la ZAD ont répondu "favorablement" à la proposition de rencontre de la préfète, alors qu'ils ont jusqu'au 23 avril pour régulariser leur situation.
Les autorités ont laissé jusqu'au 23 avril aux occupants de la Zad de Notre-Dame-des-Landes pour régulariser leur situation.
À moins d’une semaine de l'ultimatum voulu par Emmanuel Macron pour évacuer définitivement la ZAD, une épreuve d’endurance s’engage entre les forces de l'ordre et les occupants.
Le tribunal correctionnel de Nantes a condamné lundi trois personnes à des peines de "5 ou 6 mois" de prison avec sursis pour "violences volontaires sur personnes dépositaires de l'autorité publique".
Le quotidien "Libération", dont deux journalistes ont été blessés en couvrant les opérations d'expulsions sur la ZAD, dénonce un "usage disproportionné de la force par les gendarmes".
Après une semaine d'évacuations, les gendarmes déblaient les routes et maintiennent l'ordre dans la Zad. Mais ils font face à des occupants de plus en plus nombreux.
Au total, douze manifestants ont été placés en garde à vue après la manifestation de soutien aux zadistes qui a dégénéré, samedi à Nantes.
Lundi, Gérard Collomb a réfuté tout "échec" huit jours après le lancement des opérations d'expulsion des occupants illégaux de ce site de Loire-Atlantique, émaillées d'affrontements.