
Brexit - Toute l'actualité sur Europe1
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Vendredi, le groupe européen a déclaré dans un communiqué qu'en cas de Brexit sans accord, il reverrait ses investissements au Royaume-Uni.
Alors que la date prévue du Brexit est fixée au 29 mars 2019, les millions d'Européens vivant au Royaume-Uni pourront s'enregistrer à partir de cet automne afin d'obtenir un titre de séjour permanent.
Les discussions entre le Royaume-Uni et l'Union européenne achoppent sur certains points, notamment le maintien ou non du premier dans le marché unique et l'union monétaire. La question du rétablissement d'une frontière en Irlande freine également les débats.
La chambre des Lords a voté un amendement offrant un droit de veto au Parlement sur l'accord final de Brexit.
La Première ministre britannique a promis d'injecter 20 milliards de livres sterling en plus dans le système de santé anglais, le NHS. Une hausse en partie financé par "les dividendes du Brexit".
La "Loi [de retrait] de l'Union européenne", comportant des amendements sensibles, va de nouveau être examinée par le Parlement britannique à partir de mardi.
Le négociateur en chef de l'UE critique ceux qui "cherchent à nous faire porter à nous la responsabilité des conséquences" d'un retrait de l'UE.
Le chef de la diplomatie britannique a clamé son admiration pour les méthodes musclées du président américain et évoqué le caractère "irréversible" de la sortie du pays de l'UE.
"Alors qu'en 2015 seuls 622 ressortissantes et ressortissants britanniques ont obtenu la nationalité allemande, en 2016 ils étaient 2.865", précise l'office statistique outre-Rhin.
Le gouverneur de la Banque d'Angleterre a aussi annoncé mardi que la croissance britannique a progressé d'un point de moins que prévu.
Le ministre français des Affaires étrangères a demandé à Londres de régler en juin l'épineuse question de la frontière irlandaise dans le cadre du Brexit.
Le vice Premier ministre irlandais, Simon Coveney, a demandé à Theresa May de tenir ses engagements sur une frontière sans infrastructure de contrôle entre la République d'Irlande, membre de l'UE et la province britannique d'Irlande du Nord.
La Première ministre britannique assure qu'elle est en mesure d'obtenir un bon accord sur la sortie du Royaume Uni de l'UE alors qu'elle se retrouve contestée au sein de son gouvernement.
Honoré par la ville d’Aix-la-Chapelle d’un prix en faveur de l’engagement européen, Emmanuel Macron peine pourtant à réformer l’UE.
La Commission européenne a décrit mercredi, ce à quoi pourrait ressembler le budget de l'Union européenne une fois le Brexit passé. Un budget qui serait en hausse, avec pourtant un pays en moins.
Le gouvernement de Theresa May est divisé et affaibli à moins d'un an du Brexit. Les travaillistes ambitionnent une percée dans certains fiefs conservateurs.
Chaque matin, Daniel Fortin fait le point sur une question d'actualité économique.
Par 335 voix contre 244, la chambre des Lords a donné au Parlement le pouvoir d'empêcher le Brexit si un accord n'est pas trouvé à Bruxelles.
L'Union européenne et le Royaume-Uni veulent éviter le rétablissement d'une frontière "dure" entre les deux Irlande.
L'entreprise française Gemalto va concevoir les futurs passeports britanniques, une fois le pays sorti de l'UE, pour une période de 11 ans.
Au Royaume-Uni, le parlement cherche à déterminer dans quelle mesure Cambridge Analytica a pu intervenir sur la campagne pour le référendum sur la sortie de l'UE en 2016.
La campagne, qui regroupe des travaillistes, des conservateurs et des Verts, a été lancée par sept groupes opposés au Brexit et issus de l'organisation Open Britain.
Vingt ans après les accords de paix du Vendredi saint en Irlande du Nord, les conséquences du Brexit sur l'économie et l'identité même de la nation raniment les braises sous la cendre et relancent le rêve de certains d’une Irlande réunifiée !
Avant de se rendre à Belfast, mardi, l'ancien Premier ministre britannique a confié que le Brexit changeait "la symétrie des relations entre l'Irlande, le Royaume-Uni et l'Europe".
L'année du référendum sur le Brexit, le nombre de ressortissants du Royaume-Uni devenus citoyens d'un autre Etat membre de l'UE a augmenté de 165% par rapport à 2015.
Une entreprise française est pressentie pour fabriquer les nouveaux passeports britanniques, ce qui a provoqué la colère des pro-Brexit.
Les représentants des régions doivent se rendre à Bruxelles pour défendre le montant des subventions que leur verse l'UE, alors même que le départ du Royaume-Uni pourrait amputer une partie de cette manne.
C'est l'entreprise française Gemalto qui fabriquera les passeports britanniques à partir du Brexit, en mars 2019. Une décision qui passe mal auprès du fabricant britannique historique.
"Nous franchissons aujourd'hui une étape décisive dans cette négociation difficile et extraordinaire", a observé vendredi matin Michel Barnier.
La transition a nécessité des "compromis de chaque côté", a déclaré Theresa May, même si la question des services financiers n'a pas encore été évoquée.