brexit

Le député d'extrême-droite a réclamé vendredi matin un référendum pour que le Pays-Bas ait sa "propre monnaie" et sa "propre politique d'immigration".

Ce quartier de la banlieue londonienne est l'un des tout premiers à s'être prononcé pour la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne.

Pour le parti républicain, le vote en faveur du Brexit va avoir des conséquences "énormes sur la nature de l'Etat britannique".

La Première ministre écossaise s'est démarquée vendredi du résultat du référendum qui donne, au Royaume-Uni, avantage au Brexit. 

Alors que le camp du "out" fait la course en tête dans les résultats partiels, la livre britannique a atteint son plus bas depuis 1985.

C'est désormais officiel, le Royaume-Uni a voté pour sa sortie de l'UE. L'onde de choc du Brexit se fait déjà sentir dans le monde entier, notamment sur les places boursières. 

Nigel Farage, le leader de l'Ukip qui a fait campagne pour le "leave", a déclaré vendredi rêver d'"un Royaume-Uni indépendant".

"Quelle que soit la décision du peuple britannique, vous avez à la fois le mandat et le devoir de continuer à diriger la nation" écrivent les signataires.

Le ténor de la campagne pour le Brexit s'exprimait au moment où le dépouillement des bulletins commençait.

Pour Jean Arthuis, eurodéputé UDI invité d’Europe 1, "l’urgence, c’est de permettre aux Européens de prendre en main eux-même le devenir de l’Union européenne".

Pour Jean Arthuis, eurodéputé UDI invité d’Europe 1, "l’urgence, c’est de permettre aux Européens de prendre en main eux-même le devenir de l’Union européenne".

Ce jeudi 23 juin, c'est l'heure du choix pour les Britanniques. 46 millions de citoyens doivent décider si leur pays reste dans l'Union Européenne, ou non.

Alors que les Britanniques se pressent dans les bureaux de vote, le cours de la monnaie atteint des niveaux très élevés face au dollar et à l'euro.

Pour la chef du bureau de "The Economist" à Paris, la campagne pour le Brexit a "clivé les Britanniques".

Marine Le Pen n'est pas la seule à se prononcer pour une sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne. Nicolas Dupont-Aignan ou Jean-Luc Mélenchon s'en réjouiraient aussi.

Un dernier sondage, réalisé quelques heures avant le début du vote, donne le camp du maintien dans l'Union européenne gagnant.

Le référendum sur le maintien du Royaume-Uni dans l’UE a révélé la profonde division du peuple britannique sur la question.

Le Premier ministre britannique, accompagné de sa femme, a mis son  bulletin dans l'urne jeudi matin.

Les Britanniques peuvent dès à présent se rendre dans les bureaux de vote pour se prononcer pour ou contre le maintien du Royaume-Uni dans l'UE.

Le processus de départ reste assez flou. Un seul article est consacré à ce sujet dans les traités de l'Union européenne.

L'Union européenne veut éviter de froisser les Britanniques. La présentation de certains textes a été retardée. Des négociations ont été stoppées.

Jeudi, les Britanniques ont voté pour le maintien ou non du Royaume-Uni dans l'Union européenne. Un scrutin qui passionne tout le pays, mais aussi toute l'Europe, suspendue au résultat du scrutin.

Selon les résultats du scrutin de jeudi sur le maintien du Royaume-Uni dans l’Union Européenne, quels sont les scénarios possibles ? Eléments de réponse.

Deux nouveaux sondages donnaient mercredi le camp d'une sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne légèrement en tête des intentions de vote.

Les milieux économiques sont unanimes : une sortie de l’Union européenne serait une catastrophe.

S'il a reconnu mal connaître les enjeux du référendum britannique, le candidat républicain est néanmoins pour le Brexit. 

Pour le président français, le Brexit présente un risque pour le Royaume-Uni de ne plus accéder au Marché unique et serait "irréversible".

Jeudi, les Britanniques décident si le Royaume-Uni reste ou non dans l’Union Européenne. Europe 1 revient sur les enjeux déterminants du réfrendum.

Pendant deux mois, les partisans du "in" et du "out" n’ont pas hésité à sortir l’artillerie lourde pour faire basculer une campagne aussi tendue qu’indécise. 

Les agriculteurs britanniques sont tiraillés. A la veille du Brexit, faut-il qu'ils votent avec leur cœur britannique ou leur portefeuille européen ?