
Brexit - Toute l'actualité sur Europe1
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"La souveraineté britannique à Gibraltar sera protégée" après le Brexit, a déclaré jeudi la dirigeante britannique, au lendemain d'une discussion téléphonique avec le Premier ministre espagnol, Pedro Sanchez.
Pour Angela Merkel cependant, il reste "beaucoup de discussions" avant de parvenir à un accord définitif mais un premier pas en avant a été acté jeudi.
À quatre jours d'un sommet extraordinaire qui doit entériner l'accord sur le Brexit, Theresa May et Jean-Claude Juncker ont affirmé avoir fait de "très bons progrès".
L'Espagne fait pression sur Bruxelles et menace de bloquer l'accord sur le Brexit qui doit être formalisé dimanche. Elle veut s'assurer qu'elle pourra négocier directement avec le Royaume Uni sur le sort de Gibraltar.
"La première étape difficile est franchie", s'est félicité lundi le ministre autrichien des Affaires européennes Gernot Blümel.
Dans le discours qu'elle doit prononcer lundi devant le patronat britannique, la Première ministre Theresa May va déclarer que le projet d'accord sur le Brexit négocié la semaine précédente est "bon" pour le Royaume-Uni.
Après avoir négocié un projet d'accord contesté avec l'UE, Theresa May a indiqué qu'elle allait rencontré le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker.
Alors que Theresa May est particulièrement fragilisée par l'accord qu'elle a obtenu avec l'UE, les Britanniques, qu'ils soient partisans du Brexit ou non, ne semblent pas souhaiter sa démission.
Après avoir négocié un accord avec l'UE, Theresa May est sous la menace d'un vote de défiance au sein de son propre gouvernement.
Chaque samedi, Europe 1 va plus loin. Aujourd'hui, Anaïs Cordoba, Isabelle Ory et Jean-Sébastien Soldaïni ont traversé les frontières pour avoir un autre point de vue du Brexit.
Stephen Barclay, un eurosceptique, succède à Dominic Raab, qui a démissionné jeudi en raison de son désaccord avec le plan de sortie de l'UE de Theresa May.
Bruno Le Maire a dénoncé vendredi les "politiciens menteurs et irresponsables" qui ont faire croire, en cas de Brexit, "à des lendemains qui chantent".
Sophie Pedder, cheffe du bureau parisien de The Economist, revient pour Europe 1 sur les difficultés rencontrées par la Première ministre britannique, sous le feu des critiques pour son projet d’accord sur le Brexit.
Le gouvernement britannique a annoncé mardi qu'un accord de Brexit avait été trouvé. Le chemin reste encore long avant son adoption, d'autant qu'à Londres, Theresa May est lâchée par tous.
Le fait qu'un accord sur le Brexit ait été trouvé "est une bonne nouvelle pour l'économie française, c'est une bonne nouvelle pour toutes les entreprises françaises", a affirmé jeudi le ministre de l'Économie Bruno Le Maire.
En raison de leur opposition au projet d'accord avec l'Union européenne sur le Brexit, quatre ministres ont claqué la porte du gouvernement de Theresa May jeudi.
"Je ne peux pas soutenir l'accord de retrait conclu avec l'Union européenne", a expliqué jeudi le conservateur Shailesh Vara.
Le président du Conseil européen a annoncé jeudi qu'un sommet sera organisé le 25 novembre pour signer le projet d'accord de retrait conclu mercredi soir avec le Royaume-Uni.
La Première ministre britannique doit encore obtenir le vote du parlement pour confirmer l'accord sur le Brexit. Ce n'est pas gagné, avertit sur Europe 1 Jon Henley, correspondant du "Guardian" à Paris.
La Première ministre britannique va présenter le projet d'accord sur le Brexit jeudi lors d'une allocution devant la Chambre des Communes.
Le négociateur en chef de l'UE sur le Brexit, a tenu une conférence de presse mercredi, quelques minutes après l'annonce du feu vert du parlement britannique au projet d'accord entre Londres et Bruxelles.
Le gouvernement britannique doit désormais convaincre le Parlement de voter le projet d'accord de Brexit, conclu mardi avec l'UE.
Au lendemain du projet d'accord conclu avec les Vingt-Sept sur le Brexit, Theresa May a appuyé ce texte, qui repousse le règlement des questions économiques entre les deux parties.
Après des semaines d'impasse, Européens et Britanniques ont finalement trouvé un accord sur les détails du Brexit, et notamment sur le cas de la frontière irlandaise. Mais les "Brexiters", chantres du libre-échange, comme Boris Johnson, ne désarment pas.
Selon un sondage, 13% des Français vivant outre-Manche comptent quitter le pays après le Brexit, dont une majorité ont l'intention de revenir vivre en France.
Le projet, qui fait l'objet d'âpres négociations depuis de longs mois, doit être examiné mercredi par le conseil des ministres britannique.
"Il m'est apparu de plus en plus clair que l'accord de retrait, en train d'être finalisé, serait une terrible erreur", écrit Jo Johnson dans un communiqué.
La frontière irlandaise constitue l'un des principaux obstacles à un accord sur le Brexit, aucune des parties ne souhaitant rétablir une frontière physique entre l'Irlande et l'Irlande du Nord.
La secrétaire d'État Agnès Pannier-Runacher recevait mardi les fédérations professionnelles pour aborder la question du Brexit.
Trente-cinq scientifiques, parmi lesquels les Français Albert Fert et Claude Cohen-Tannoudji, tous deux prix Nobel de physique, font part, dans une lettre ouverte, de leur inquiétude quant au Brexit.