
Le 14 juillet 2016, Mohamed Lahouaiej Bouhlel commet un attentat au volant d'un camion lancé sur la foule sur la promenade des Anglais à Nice, dans lequel 84 personnes ont trouvé la mort.
Le 14 juillet 2016, Mohamed Lahouaiej Bouhlel commet un attentat au volant d'un camion lancé sur la foule sur la promenade des Anglais à Nice, dans lequel 84 personnes ont trouvé la mort.
Ce jeudi, Nice a commémoré les 86 victimes de son attentat il y a six ans, sur la promenade des Anglais. Huit accusés sont attendus à la barre dans quelques mois, à l'ouverture du procès, mais pas l'auteur des faits, tué par la police le soir même de drame. Une nouvelle épreuve pour les...
Nice a commémoré mercredi "sans haine" les cinq ans d'un attentat qui visait "la France toute entière" un 14-juillet, selon le Premier ministre Jean Castex. Quelque 400 personnes, en majorité des victimes et familles de victimes, se sont rassemblées mercredi dans les jardins de la villa...
Endri E., un Albanais de 28 ans soupçonné d'avoir fourni des armes à Mohamed Lahouaiej Bouhlel, l'auteur de l'attaque perpétrée sur la Promenade des Anglais à Nice en juillet 2016, a été arrêté en Italie, annoncent mercredi soir plusieurs médias.
Ce procès éventuel, sur lequel la décision finale revient désormais aux juges d'instruction antiterroriste, ne concerne pas l'auteur des faits, Mohamed Lahouaiej-Bouhlel, un Tunisien de 31 ans, abattu par les forces de l'ordre le soir-même de l'attentat.
Les juges antiterroristes chargés de l'enquête sur l'attentat de Nice ont terminé leurs investigations. L'attaque, perpétrée avec un camion, avait fait 86 morts, le 14 juillet 2016.
Franck Terrier, surnommé "le héros au scooter", s'était retranché chez lui. Il a finalement été secouru sain et sauf et transporté à l'hôpital.
Dimanche matin, une cérémonie d'hommage s'est tenue près de la Promenade des Anglais, où 86 personnes ont été fauchées il y a trois ans. Plusieurs représentants d'associations ont pris la parole.
Le feu d'artifice sera tiré le 13 juillet, et non le 14, trois ans après le terrible attentat qui avait fait 86 morts sur la promenade des Anglais.
L'homme, qui avait perdu son fils de 4 ans et son ex-femme lors de l'attentat de Nice, "n'était pas suicidaire, mais il se laissait mourir, il était tellement vide et attristé".
Chokri C., qui a été présenté comme le complice et même le mentor du terroriste responsable de l'attentat de Nice, n’a peut-être finalement aucun lien avec le drame, et pourrait voir sa mise en examen levée ce vendredi, selon les informations d'Europe 1.
François-Xavier Lauch a été entendu par deux juges d'instruction fin mars, en qualité d'ancien directeur du cabinet du préfet des Alpes-Maritimes, pour son rôle dans le dispositif de sécurité de la ville de Nice en 2016, au soir de l'attentat qui a fait 86 morts.
Jérôme Lesne-Ménard, greffier auprès du parquet antiterroriste, raconte au micro d'Europe 1 comment il a retranscrit pour la justice les histoires des victimes des attentats du 13-novembre et de Nice et celles de leurs proches.
Samia Maktouf, avocate d'enfants orphelins de djihadistes et de familles de victimes d'attentats, estime sur Europe 1 que rapatrier en France les quelque 150 Français détenus en Syrie "n'est pas leur donner un blanc-seing".
Hamdi Zagar est le deuxième des neuf mis en examen dans ce dossier à être remis en liberté surveillée. Il est soupçonné d'avoir participé à la fourniture d'armes du tueur.
L'amendement déposé par le gouvernement propose qu'une seule juridiction située à Paris évalue le préjudice des victimes d'attentats, sans jamais les entendre.
Pour la première fois depuis l'attentat du 14 juillet 2016, qui avait fait 86 morts et 206 blessés, un feu d'artifice sera tiré sur la promenade des Anglais, mercredi à Nice.
Deux ans après l'attentat de Nice qui avait causé la mort de 86 personnes, la ville azuréenne va revivre un feu d'artifice sous haute sécurité.
Aleksander H., mis en examen pour son implication dans l'attentat de Nice, s'est suicidé début juin à Fleury-Mérogis. Son avocate estime qu'il ne supportait plus d'attendre que la qualification terroriste soit abandonnée dans son dossier.
En présence du Premier ministre, la ville de Nice a rendu hommage samedi aux 86 victimes de l'attentat du 14-Juillet, perpétré il y a deux ans sur la Promenade des Anglais.
Un Albanais de 38 ans, soupçonné d'avoir indirectement fourni des armes au terroriste responsable de l'attentat de Nice en 2016, s'est suicidé vendredi dans sa cellule de Fleury-Mérogis.
Après l'attentat du 14 juillet 2016, la ville avait décidé de ne plus rien organiser sur la Promenade des Anglais en signe de deuil.
La ville de Nice va de nouveau tirer un feu d'artifice sur la Promenade des Anglais à l'occasion de la Fête nationale en 2019, trois ans après les attentats.
Mennel Ibtissem a répondu lundi à une polémique, expliquant qu'elle condamnait "bien évidemment avec la plus grande fermeté le terrorisme", alors que certains de ses anciens tweets publiés après l'attentat de Nice ont été exhumés.
Cette Franco-Albanaise de 43 ans a été remise en liberté le 21 novembre mais, selon une source judiciaire, le parquet de Paris a fait appel de cette décision ordonnée par un juge.
Une information judiciaire est ouverte depuis le 5 avril à Nice pour faire la lumière sur les mesures de sécurité prévues pour le traditionnel feu d'artifice de la fête nationale à Nice.
L'homme a été condamné mercredi à un an de prison ferme pour avoir détourné environ 9.000 euros.
Après deux reports, l'ancien porte-parole de l'association "Promenade des Anges" comparaît devant le tribunal correctionnel pour abus de confiance et escroquerie, mercredi.
Une centaine de personnes se sont jointes à la plainte qui met en cause les mesures de sécurité déployées le soir de l'attentat du 14-Juillet sur la Promenade des Anglais.
Alors que 1.859 demandes d'indemnisation de victimes de l'attentat de Nice ont déjà donné lieu au versement de 28,4 millions d'euros, quelque 600 autres doivent encore être traitées.
La policière avait affirmé avoir subi des "pressions" pour modifier son rapport sur le dispositif policier en vigueur le soir de l'attentat.