Coronavirus : Emmanuel Macron à l'hôpital de Pontoise vendredi après-midi

Emmanuel Macron se rendra vendredi après-midi au centre hospitalier René-Dubos de Pontoise.
Emmanuel Macron se rendra vendredi après-midi au centre hospitalier René-Dubos de Pontoise. © Lewis Joly / POOL / AFP
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Europe 1 avec AFP
Le chef de l'Etat se rendra vendredi après-midi au centre hospitalier René-Dubos de Pontoise, dans le Val-d’Oise, pour "échanger avec les équipes". Il rencontrera à 16h "des représentants du milieu hospitalier" avant de s'exprimer devant la presse, selon le déroulé de cette visite.

Emmanuel Macron se rendra vendredi après-midi au centre hospitalier René-Dubos de Pontoise, dans le Val-d’Oise, pour "échanger avec les équipes", a indiqué l'Elysée au lendemain de l'annonce d'un élargissement du couvre-feu face à une deuxième vague de l'épidémie de Covid-19. Le chef de l'Etat rencontrera à 16h "des représentants du milieu hospitalier" avant de s'exprimer devant la presse, selon le déroulé de cette visite.

 

Jeudi, 41.622 nouveaux cas de Covid-19 ont été dépistés, soit 15.000 de plus que la veille. Un record depuis le lancement des tests à grande échelle. L'afflux de malades du coronavirus dans les hôpitaux depuis la rentrée a ravivé les craintes de soignants déjà durement éprouvés au printemps lors de la première vague épidémique. De nombreux établissements ont commencé à déprogrammer une partie de leurs interventions chirurgicales pour faire face.

Les syndicats hospitaliers demandent "des embauches massives immédiates"

Syndicats et collectifs y voient la conséquence des "manques d'effectifs récurrents" dans le secteur et revendiquent "des embauches massives immédiates", ainsi que "la revalorisation significative des salaires". Des demandes auxquelles était déjà censé répondre l'accord du "Ségur de la santé" en juillet, qui prévoit notamment une augmentation générale de 183 euros net par mois pour tous les personnels (hors médecins).

 

 

C'est dans ce contexte que le Premier ministre a averti jeudi que si l'épidémie n'était pas jugulée, le gouvernement devrait "envisager des mesures beaucoup plus dures", alors que plusieurs pays, comme l'Irlande, viennent de décider des reconfinements face à la deuxième vague.