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Crise politique : «Renaissance et Horizons ne veulent pas de dissolution car ils reviendraient moins nombreux», juge Jean-Michel Salvator

Europe 1

Les oppositions ont été nombreuses a demandé une dissolution de l'Assemblée nationale après la démission de Sébastien Lecornu, ce lundi 6 octobre. Mais pour le camp présidentiel, cette voie n'est pas viable. Selon le journaliste Jean-Michel Salvator, "Renaissance et Horizons" reviendraient moins nombreux dans ce cas.

Vers une dissolution de l’Assemblée nationale ? Après la démission de Sébastien Lecornu, lundi 6 octobre, la France a plongé dans une nouvelle crise politique profonde. Face à cette annonce surprise, les oppositions ont demandé un retour aux urnes, notamment le Rassemblement national.

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Mais du côté du camp présidentiel, cette option n’est pas envisagée. Pour le journaliste Jean-Michel Salvator, "il y a certains partis qui ne veulent pas la dissolution, car ils voient bien que si elle a lieu, ils reviendront beaucoup moins nombreux".

"C’est le cas de Renaissance et Horizons. D’où d’ailleurs les deux sorties de Gabriel Attal et Edouard Philippe pour expliquer que, finalement, le problème était plus Emmanuel Macron qu’un problème parlementaire. Donc là, on voit bien qu’il y a des résistances", assure-t-il sur Europe 1.