
Crise de la dette - Toute l'actualité sur Europe1.
Crise de la dette - Toute l'actualité sur Europe1.
Le lancement de cette procédure confirme le retour de la Grèce sur les marchés, après la crise de la dette dans laquelle a été engluée le pays pendant plus de sept ans.
La Grèce s'apprête à tourner la page des plans de sauvetage européens, mais le quotidien des Grecs reste particulièrement précaire.
Après plusieurs mois d'incertitudes et de tensions, l'Italie a enfin un nouveau gouvernement. Selon Giuliano da Empoli, ancien conseiller politique de Matteo Renzi, c'est désormais la politique économique qui pourrait plonger le pays dans une nouvelle crise.
Le refus du président italien de valider la composition du gouvernement populiste, fait planer le spectre d’une crise politique et économique susceptible d’impacter toute l’Europe.
Athènes a réalisé une bonne partie des réformes demandées et attend un nouveau versement des Européens, mais aussi et surtout un débat sur sa dette.
Les points de vue entre Athènes et ses créanciers se sont rapprochés ce week-end après plusieurs semaines de flottement.
Après l'obtention d'un financement exceptionnel de 7 milliards d'euros et dans l'attente d'un plan d'aide plus massif, le gouvernement d'Alexis Tsipras a pris une série de mesures pour stopper l'asphyxie des ménages grecs.
Le Premier ministre grec a procédé à un remaniement ministériel pour évincer trois ministres frondeurs qui s'étaient élevés contre les réformes qu'Alexis Tsipras avait acceptées pour ne pas rompre le dialogue avec l'UE.
L’Union européenne a annoncé vendredi qu’elle allait accorder un financement d’urgence de 7 milliards d’euros supplémentaire à la Grèce.
L’ancien sulfureux ministre grec des Finances, débarqué du gouvernement, a donné une interview choc lundi dans laquelle il raconte le temps passé dans les réunions européennes.
Les discussions ont été complexes entre les ministres des Finances samedi. Les responsables de la zone euro n’ont pas réussi à s’entendre sur le sort à réserver aux propositions de la Grèce.
Invité du Grand Rendez-vous, l'ancien directeur de l'Organisation mondiale du commerce estime la France bien placée pour faire l'intermédiaire sur le dossier grec.
Ancien président de la Banque centrale européenne et invité d'Europe 1, Jean-Claude Trichet estime que le gouvernement d'Alexis Tsipras a brisé une confiance essentielle pour négocier avec les créanciers du pays.
La vice-président du Mode et eurodéputée Marielle de Sarnez considère la nouvelle position du Premier ministre grec comme "responsable" et "courageuse".
Le Parlement grec a donné son feu vert aux propositions d'Alexis Tsipras. Les créanciers les jugent globalement "positives" mais...
Le gouvernement Tsipras va tenter de trouver un accord dimanche avec les créanciers de la Grèce. Mais si ce n’était pas le cas ? Les associations se préparent au pire.
Athènes réclame un nouveau plan d’aide et un effacement partiel de sa dette. De nombreux Etats européens y sont catégoriquement opposés. Pourquoi ?
Comme attendu, le gouvernement Tsipras a soumis mercredi une demande officielle d'assistance au Mécanisme européen de stabilité, préalable indispensable à de nouvelles négociations.
48 heures après le référendum grec, les Européens ont renoué le dialogue avec Athènes lors d'un Eurogroupe suivi d'un sommet de l'Union européenne. Mais rien n'a été décidé, faute de propositions détaillées de la part d'Athènes.
Le camp du "non" aux mesures proposées par les créanciers est largement arrivé en tête. Le Premier ministre Alexis Tsipras estime ressortir renforcé de ce référendum et a annoncé son retour à la table des négociations.
Invitée à se prononcer sur le paquet de réformes proposées par ses créanciers, la Grèce a voté non. Si le résultat du référendum est clair, la suite des évènements est des plus incertaines.
Les Grecs sont appelés à voter dimanche sur la feuille de route proposée par les créanciers d'Athènes.
"Il y a une irresponsabilité incroyable du gouvernement", a accusé Dimitris Kourkoulas, ancien secrétaire d’Etat grec aux affaires européennes, vendredi sur Europe 1.
Athènes n'a pas réussi à honorer à temps sa dette envers le FMI, le plaçant ainsi en situation de faillite. Et alors ?
La Grèce a fait défaut mercredi sur sa dette vis-à-vis du FMI. Les ministres des Finances de la zone euro ont décidé d'attendre le référendum de dimanche avant de nouvelles discussions.
"Les apprentis sorciers qui s’imaginent qu’on va apporter la stabilité dans la zone euro en expulsant un membre pour discipliner les autres sont extrêmement dangereux", a estimé l’économiste Thomas Piketty.
Au terme d'une journée à rebondissements, Athènes a proposé une ultime négociation à ses créanciers : reporter le remboursement de 1,5 milliard d'euros dus d'ici minuit mardi soir. En contrepartie, Athènes s'engage à annuler son référendum.
Estimant qu’un accord politique est désormais impossible, Jean-Claude Juncker lance une opération transparence pour convaincre les Grecs de voter en faveur d’un maintien dans la zone euro.
Faute d’accord, un défaut de paiement d’Athènes n’est plus à exclure. Les marchés anticipent déjà un tel scenario, faisant chuter les Bourses.
La conclusion d'un accord politique d'ici mardi soir s'éloigne, forçant Athènes à instaurer un contrôle des capitaux pour éviter un mouvement de panique. La Commission européenne s'invite dans le débat.