
Corée du Nord - Toute l'info et l'actualité sur Europe 1.
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Moon Jae-In, président élu mardi en Corée du Sud, est partisan du dialogue avec le Nord, alors que les tensions sont extrêmement vives dans la région.
Le message a été adressé non pas par Kim Jong-Un mais par le chef de l'Etat de la Corée du Nord, Kim Yong-Nam, dont la fonction est largement honorifique.
L'arrestation de Kim Hak Song, la deuxième de ce type en quinze jours, a eu lieu samedi et une "enquête détaillée sur ses crimes" est en cours.
Les autorités nord-coréennes dénoncent un "complot vicieux" pour tuer leur dirigeant avec "une substance radioactive ou une nanosubstance empoisonnée".
La Corée du Nord a confirmé qu'elle avait arrêté au mois d'avril un ressortissant américain accusé d'avoir des "activités hostiles".
Washington a récemment annoncé que le système était opérationnel et avait la capacité d'intercepter des missiles nord-coréens.
"Si les conditions étaient réunies pour que je le rencontre, je le ferais, absolument. Je serais honoré de le faire", a affirmé le président américain.
Cette déclaration de la Corée du Nord intervient alors que la tension est déjà à son comble sur la péninsule.
Le président américain a reconnu dimanche la jeunesse du dirigeant nord-coréen qui a réussi à s'imposer au pouvoir malgré son âge et les ambitions de hauts-gradés de son pays.
Alors que les États-Unis somment la Chine de faire pression sur la Corée du Nord, Donald Trump estime dans un entretien à CBS que le président chinois fait le nécessaire.
Le souverain pontife a également annoncé qu'il était prêt à rencontrer Donald Trump lors de son passage en Italie fin mai.
"Notre responsabilité collective est de réagir avec fermeté et détermination", a estimé le ministère des Affaires étrangères.
Le secrétaire d'État américain a demandé à la communauté internationale d'imposer "plus de pressions diplomatiques et économiques au régime nord-coréen".
L'agence de presse Yonhap, citant des sources militaires, précise que le missile a explosé quelques secondes à peine après son lancement samedi matin heure locale.
Des responsables américains ont dit que le bouclier serait opérationnel dans les "prochains jours".
La rhétorique nord-coréenne devient traditionnellement plus agressive chaque printemps.
Les premiers éléments du bouclier anti-missiles qui doit être installé en Corée du Sud sont arrivés sur zone mercredi.
Pour faire face à un éventuel affrontement nucléaire entre les États-Unis et la Corée du Nord, les Japonais tentent de se protéger en faisant installer des abris anti-atomiques et des purificateurs d'air chez eux.
Une université nord-coréenne a confirmé l'arrestation d'un ressortissant américain qui y enseignait, portant à trois le nombre d'Américains détenus dans ce pays.
Le président Donald Trump a ordonné il y a deux semaines au porte-avions Carl Vinson de faire route vers la Corée en pleine escalade des tensions avec Pyongyang.
Des navires de guerre japonais ont rejoint le porte-avion américain Carl Vinson pour un exercice militaire conjoint, près de la péninsule coréenne.
En pleine crise diplomatique entre Pyongyang et Washington, le porte-avions américain et sa flotte arriveront dans quelques jours en mer du Japon.
La résolution mentionne explicitement des "sanctions" alors que les textes précédents évoquaient seulement "des mesures supplémentaires".
Cette proposition risque de provoquer la colère en Corée du Sud, où le souvenir de l'occupation coloniale brutale par le Japon de 1910 à 1945 est encore vif.
Le vice-président américain Mike Pence a réitéré l'engagement de son pays à assurer la sécurité au Japon.
Mike Pence, le vice-président américain, en visite à Séoul, a vivement conseillé à la Corée du Nord de cesser les provocations.
Le Japon va coopérer de manière rapprochée avec les Etats-Unis et la Corée du Sud sur la Corée du Nord et va appeler la Chine à endosser un rôle plus important.
Quelques heures après l'échec d'un tir de missile par Pyongyang, les Etats-Unis ont marqué leur fermeté face à la Corée du Nord lundi.
Les USA ont vivement réagi au lendemain d'un tir de missile raté du régime nord-coréen.
Sur les fronts coréen comme syrien, Bernard-Henri Lévy estime que "Trump se comporte plutôt bien depuis quelques jours".