
Corée du Nord - Toute l'info et l'actualité sur Europe 1.
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Un fabricant local a lancé une tablette sous le nom de Ryonghung iPad.
Pour la première fois, l'armée américaine a réussi à intercepter ce type de missile dont la Corée du Nord cherche à se doter.
Siti Aisyah, 25 ans, et Doan Thi Huong, 28 ans, expliquent avoir été trompées car elles pensaient participer à une caméra cachée. Elles ont toutes les deux été inculpées pour l'assassinat de Kim Jong-Nam
Pyongyang affirme que son troisième tir de missile balistique en trois semaines a été un succès.
Le missile a parcouru 450 km selon la Corée du Sud et a été suivi pendant six minutes par les radars américains.
Ce test vise à mesurer l'efficacité du système de défense antimissiles contre les missiles intercontinentaux, alors que Pyongyang multiplie les tirs.
Les États-Unis se disent prêts à dialoguer avec Pyongyang, à condition que le régime communiste abandonne ses programmes nucléaire et balistique.
Donald Trump a tenu ces propos lors d'une conversation téléphonique fin avril avec son homologue philippin Rodrigo Duterte.
L'armée sud-coréenne a procédé à des tirs d'avertissement sur un objet nord-coréen volant à la frontière entre les deux pays, mardi.
Selon Symantec, entreprise spécialisée dans la sécurité informatique, la Corée du Nord est probablement impliquée dans la cyberattaque qui a paralysé de nombreuses entreprises il y a dix jours.
Le Conseil de sécurité a menacé Pyongyang de sanctions renforces, après un dernier tir de missile.
Alors que Pyongyang a de nouveau effectué un tir de missile lundi, l'ONU a sommé la Corée du Nord de "cesser ses essais" qui "menacent la sécurité internationale".
Pyongyang a confirmé avoir tiré un missile balistique dimanche, une semaine après le tir d'un missile Hwasong-12. Le Conseil de sécurité de l'Onu devrait se réunir mardi.
La Corée du Nord avait déjà procédé dimanche dernier à un tir de missile balistique, son premier depuis l'élection du nouveau président sud-coréen Moon Jae-In, qui avait dénoncé une "provocation dangereuse".
La Corée du Nord a démenti vendredi être derrière la cyberattaque mondiale, qui a touché une centaine de pays la semaine dernière.
Selon le président sud-coréen, "il existe une possibilité élevée d'affrontements militaires" à la frontière maritime disputée entre les deux pays.
Plusieurs éléments repérés par des experts en cybersécurité appuieraient la thèse de l'implication de la Corée du Nord dans la vague de cyberattaques qui a fait plus de 200.000 victimes depuis vendredi.
La représentante américaine a également indiqué que Washington était prêt à "parler" avec Pyongyang mais à condition d'un "arrêt total du processus nucléaire et de tout essai" de missiles.
Europol a estimé mardi qu'il était encore "trop tôt" pour spéculer sur les auteurs de la cyberattaque mondiale survenue le week-end dernier, alors que des chercheurs en sécurité informatique ont découvert un lien potentiel avec la Corée du Nord.
Un informaticien a mis en ligne des indices montrant certaines similarités entre le virus "Wannacry" et d'autres piratages attribués à la Corée du Nord.
Antonio Guterres a estimé que le tir nord-coréen "menace la paix et la sécurité dans la région".
Le président russe a condamné le tir de missile nord-coréen de dimanche mais demande néanmoins de stopper les intimidations faites à la Corée du Nord.
Le tir de missile effectué par Pyongyang dimanche visait à vérifier sa capacité à "porter une ogive nucléaire de grande ampleur", selon l'agence de presse officielle du régime.
Pyongyang a effectué dimanche matin son deuxième tir de missile en 15 jours, un essai interprété comme une forme de mise au défi du nouveau président sud-coréen Moon Jae-In.
Le projectile tiré par la Corée du Nord a parcouru environ 700 km, contre 500 km lors d'un précédent tir réalisé en février depuis la même base.
Le président russe Vladimir Poutine et le président chinois Xi Jinping "ont discuté en détail la situation sur la péninsule coréenne" lors d'une rencontre à Pékin.
Alors que la Corée du Nord a effectué un nouveau tir de missile balistique vers la Mer du Japon, les États-Unis appellent à plus de sévérité dans les sanctions.
Il s'agit du deuxième tir de missile par la Corée du Nord en deux semaines et cette fois-ci, il a parcouru 700 km contre 500 km lors du dernier essai.
Lors de l'élection de la présidente sud-coréenne déchue en 2012, les médias nord-coréens n'avaient consacré qu'une seule phrase à l'issue du scrutin.
Après 10 ans de règne conservateur, la victoire de Moon Jae-In pourrait signifier un changement considérable de politique vis-à-vis de Pyongyang.