Antisémitisme : «Ce climat est largement alimenté par ce clientélisme forcené de la part de LFI», estime le secrétaire général adjoint LR
Les actes antisémites ont été nombreux cet été. Récemment, un groupe de 150 d'enfants et d'adolescents israéliens s'est vu refuser l'accès d'un parc de loisirs dans les Pyrénées-Orientales. Pierre-Henri Dumont, secrétaire général adjoint des Républicains, réagit dans Europe 1 Midi Week-end.
Un groupe de 150 d'enfants et d'adolescents israéliens s'est vu refuser l'accès d'un parc de loisirs dans les Pyrénées-Orientales. Le mis en cause, gérant du lieu, a été déféré devant un juge.
Cette discrimination, dont l'accusé s'en défend, s'inscrit dans une continuité d'actes antisémites qui ont eu lieu cet été. Pierre-Henri Dumont, secrétaire général adjoint des Républicains et ancien député, réagit dans Europe 1 Midi Week-end.
LFI est "optique de gagner un vote musulman-communitariste radicalisé"
Pour lui, il y a "déjà un amalgame" entre "soutenir la politique de Benjamin Netanyahou et être juif". Une situation qui est due aux actions de certaines forces politiques. Le secrétaire général adjoint LR vise particulièrement La France Insoumise, qui "sont dans cette optique de gagner un vote musulman-communitariste radicalisé pour avoir les fameuses 600.000 voix" qui leur manqueraient potentiellement.
C'est donc "ce qui fait que certaines personnes se sentent autorisées à pouvoir faire preuve de racisme, d'antisémitisme à l'encontre de telles ou telles catégories, en particulier nos compatriotes de confession juive", poursuit l'ancien député.
Rappelant les faits qui se sont déroulés avec la compagnie aérienne Vueling, Pierre-Henri Dumont y voit un "clientélisme pur". Ce climat est "largement alimenté par ce clientélisme forcené de la part de la France insoumise", estime-t-il.
Cela fait également "écho" aux étudiants belges qui ont nommé leur promotion "Rima Hassan". "Nos voisins belges qui voient aujourd'hui en Rima Hassan une égérie, et non pas une amie des terroristes", conclut-il.
