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«La photo est pour moi une évasion» : Denis Brogniart présente son livre album réalisé à travers le monde

Marina Sgard . 1 min

Connu pour incarner depuis plus de 20 ans l’esprit de l'aventure avec "Koh-Lanta", Denis Brogniart dévoile une autre facette de sa personnalité à travers son livre album "Mes photos du bout du monde", publié chez Flammarion. Passionné de voyages et de rencontres, il y partage des clichés pris aux quatre coins du globe.

Du flambeau à l’appareil photo. Figure emblématique de Koh-Lanta depuis plus de 20 ans, Denis Brogniart dévoile un tout autre talent au-delà des îles et des épreuves mythiques du célèbre jeu de TF1, celui du voyage et de la photographie. Invité dans l’émission Culture Médias sur Europe 1, il est venu présenter son livre Mes photos du bout du monde, publié aux éditions Flammarion où il partage des clichés pris aux quatre coins de la planète, fruits de ses escapades personnelles et professionnelles.

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S’il incarne depuis plus de deux décennies l’esprit de l’aventure à travers Koh-Lanta, Denis Brogniart confie qu’il n’a pas toujours été un globe-trotteur. "C’est vrai que j’ai commencé assez tard à voyager. J’ai pris l’avion pour la première fois à 18 ans. On voyageait surtout en France, en camping avec mes parents", a-t-il raconté au micro d’Europe 1.

Depuis, il a largement rattrapé le temps perdu. Que ce soit pour Koh-Lanta ou pour ses reportages dans Automoto, Denis Brogniart a sillonné les continents, de l’Asie à l’Amérique du Sud, en passant par l’Afrique et l’Océanie. 

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Un grand voyageur dans l’âme

Pour Denis Brogniart, la photographie est bien plus qu’un passe-temps, elle est un moyen d’expression et d’évasion. "C’est une activité solitaire. Dans un tournage, je m’accorde parfois deux heures seul pour faire des photos. Dès qu’on est accompagné, ce n’est plus la même chose", explique-t-il. 

Appareil en main, il capture des instants suspendus, des visages, des paysages, mais surtout des émotions. Au Cambodge par exemple, il se souvient de rencontres marquantes malgré la barrière de la langue. "Les gens ne parlaient ni français ni anglais, moi je ne parle pas cambodgien. Mais avec des regards, des sourires, on arrivait à communiquer. L’appareil photo crée un lien”, exprime-t-il.

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L’animateur admet aussi ne pas être un photographe "organisé". Certaines de ses photos ont malheureusement été perdues ou endommagées, notamment en Amérique du Sud, à cause d’un mauvais stockage. "Je ne suis pas très bien organisé, j’ai perdu des clichés à cause de disques durs un peu humides", regrette-t-il.

À travers son objectif, sa démarche n’est pas celle d’un photographe professionnel, mais celle d’un homme curieux comme Nikos Aliagas qui a aussi révélé sa passion pour la photographie. Une belle parenthèse pour celui que l’on associe d’abord à la compétition et à la survie.