Samir Nasri : "William Gallas devrait prendre des Doliprane en suppositoire, pour les mythos"

Samir Nasri, 1280x640
© CRISTINA QUICLER / AFP
  • Copié
Dans un entretien accordé à Onze Mondial, Samir Nasri revient sur les accusations de William Gallas. 

Ce n'est pas nouveau, Samir Nasri aime beaucoup régler ses comptes. Cette fois, l'ancien international tricolore s'en prend à William Gallas, qui l'a accusé de l'avoir menacé au taser en 2009. Totalement faux pour l'actuel joueur de Séville

"Des dolipranes en suppositoire, pour les mythos". Fin novembre, l'ancien joueur de l'équipe de France William Gallas avait révélé que Samir Nasri et quelques uns de ses amis avaient menacé de le taser devant un hôtel parisien, au printemps 2009. "Il devrait prendre des "mythopranes", c’est des dolipranes en suppositoire, pour les mythos", assure Nasri dans un entretien à Onze Mondial. "Pour commencer, il devrait en prendre". Et de poursuivre : "deuxièmement, le gars dit que son cousin est un policier. Donc son cousin est un policier, il y a des tasers, et il n’intervient pas le policier ?"

Samir Nasri s'étonne de la version des faits de William Gallas. "Il est 23 heures, tu sors du Costes, il fait nuit, tu arrives à voir dans un sac, d’ailleurs, il n’y a pas eu de sac, un mec accroupi avec des tasers dans un sac, il n’y a pas eu de taser non plus… Arrête de nous prendre pour des cons s’il te plaît", s'emporte Nasri. "Si tu veux dire les choses, d’accord, mais dis les choses comme elles se sont passées s’il te plaît [...] Pour le reste, qu’est-ce que tu inventes comme histoire ?"