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16 équipes, les chances françaises, la Nouvelle-Zélande favorite... Tout savoir sur la Coupe du monde de rugby féminin 2025

Europe 1 . 2 min
Sport : tout savoir sur la Coupe du monde de rugby féminin 2025
Sport : tout savoir sur la Coupe du monde de rugby féminin 2025 Alex Pantling / GETTY IMAGES EUROPE / Getty Images via AFP / © Alex Pantling / GETTY IMAGES EUROPE / Getty Images via AFP

La Coupe du monde féminine de rugby débute ce vendredi 22 août en Angleterre avec un alléchant Angleterre–États-Unis à Sunderland. Pendant plus d’un mois, seize nations vont se disputer le titre, avec les favorites traditionnelles et des Bleues qui rêvent de bouleverser la hiérarchie.

La Coupe du monde de rugby féminin revient pour sa dixième édition et s’annonce comme l’un des grands rendez-vous sportifs de l’année. Le coup d’envoi sera donné ce vendredi 22 août à 20h30 avec l’affiche Angleterre–États-Unis, disputée au Stadium of Light de Sunderland. La compétition s’étalera sur plus d’un mois et se conclura le 27 septembre à Twickenham.

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L’Angleterre, pays hôte, accueille le tournoi dans huit villes : Sunderland, Londres, Manchester, Bristol, Exeter, Brighton & Hove, Northampton et York. Autre nouveauté marquante, le format s’élargit avec seize équipes engagées contre douze lors de l’édition précédente. Réparties en quatre groupes, elles s’affronteront pour décrocher l’une des deux premières places synonymes de qualification en quart de finale.

Comme souvent, la hiérarchie mondiale laisse peu de place au doute. Finalistes des deux dernières éditions, l’Angleterre et la Nouvelle-Zélande apparaissent comme les grandes favorites. Les Red Roses, premières au classement World Rugby, n’ont plus connu la défaite depuis la finale de 2022, perdue face aux Black Ferns. Invaincues depuis, elles abordent leur Coupe du monde en pleine confiance. De leur côté, les Néo-Zélandaises, sextuples championnes du monde et doubles tenantes du titre, restent de redoutables prétendantes à une nouvelle couronne.

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La France et le Canada en outsiders

Derrière ce duo, le Canada et la France se présentent en outsiders crédibles. Deuxièmes au classement mondial, les Canadiennes ont déjà atteint une finale en 2014 et manqué le podium à plusieurs reprises. Les Bleues, de leur côté, se montrent régulières avec trois troisièmes places consécutives et espèrent enfin franchir un cap.

Si leur préparation a été marquée par une lourde défaite face aux Anglaises (6–40), elles avaient également montré en avril, lors d’une finale du Tournoi des Six Nations perdue d’un souffle (42–43), qu’elles étaient capables de rivaliser. Tête de série numéro 4, la France débutera sa campagne contre l’Italie le 23 août, avant d’affronter le Brésil le 31 août puis l’Afrique du Sud le 7 septembre. Le tournoi s’achèvera le 27 septembre, d’abord par la petite finale en début d’après-midi puis par la grande finale en fin de journée. Côté diffusion, le tournoi sera accessible en clair grâce à TF1 et France Télévisions, qui se partagent les droits.