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Marche pour Mehdi Kessaci : «Céder à la trouille, c’est laisser les rues marseillaises et françaises aux narcotrafiquants», assure Éric Revel

Europe 1

Invité d'"Eliot Deval et vous", l'essayiste Éric Revel est revenu sur la peur de la population face au narcotrafic. Il affirme qui ne faut pas "céder à la trouille", car cela revient à "laisser les rues marseillaises et françaises aux narcotrafiquants".

Une marche blanche a été organisée en hommage à Mehdi Kessaci samedi 22 novembre, assassiné le 13 novembre sous fond de narcotrafic. 

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Pour Éric Revel, essayiste et invité d'Eliot Deval et vous, il ne faut surtout pas "céder à la trouille". Dans le cas contraire, "c’est laisser les rues marseillaises et françaises aux narcotrafiquants", affirme-t-il.

"On ne peut pas tuer tout un peuple"

"La peur a joué", "on peut tuer une personne", mais "on ne peut pas tuer tout un peuple", poursuit l'essayiste. 

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6.500 personnes étaient réunies à Marseille ce samedi après-midi pour rendre hommage à Mehdi Kessaci. Pour Éric Revel, la "terreur diffusée par les narcotrafiquants est en train d'infuser" jusqu'à la population. 

Il y a vraisemblablement une "peur", après "cet assassinat d'avertissement". Mais l'essayiste prévient : "Céder à la trouille, c'est laisser les rues marseillaises et les rues françaises au narcotrafic".