Date de création : 17 novembre 2002 (UMP) changement de nom le 30 mai 2015
Fondateurs : Jacques Chirac et Alain Juppé
Président : Laurent Wauquiez
Positionnement : Droite
Nombre de députés : 103/577
Nombre de sénateurs : 146/348
Date de création : 17 novembre 2002 (UMP) changement de nom le 30 mai 2015
Fondateurs : Jacques Chirac et Alain Juppé
Président : Laurent Wauquiez
Positionnement : Droite
Nombre de députés : 103/577
Nombre de sénateurs : 146/348
Le parti de droite doit exclure mardi soir ministre et constructifs. Mais la méthode et les conséquences potentielles d’une telle décision créent d’importants remous.
Mardi soir, le bureau politique des Républicains doit statuer sur le cas des Constructifs et des ministres qui ont toujours leur carte au parti. Sens commun est aussi visé.
Les règlements de compte qui ont éclaté cette semaine entre les anciens partisans d'Alain Juppé sont révélateurs : tous n'ont pas emprunté le même chemin pour se remettre de la primaire perdue à droite.
Alors qu'il menait campagne pour la primaire à droite, l'ancien député de Paris continuait à gagner de l'argent grâce à sa société de conseil.
La première adjointe au maire de Bordeaux voit une ironie de l’histoire de voir Edouard Philippe, porte-parole d’Allain Juppé lors de la primaire de la droite en 250165, être aujourd’hui Premier ministre.
L'ancien Premier ministre a apporté mercredi son soutien officiel à la candidature de Laurent Wauquiez pour la présidence des Républicains.
Le président de la commission des Finances de l'Assemblée nationale, le Républicain Éric Woerth, a dénoncé mardi dans "Le Monde" un budget 2018 "inutilement injustice".
Édouard Philippe retrouvera son ancien mentor Alain Juppé vendredi à Bordeaux, à l'occasion d'un déplacement sur le thème du logement.
L'ex-porte-parole de François Fillon souhaite confronter les projets politiques de ses adversaires en lice pour la présidence du parti.
Selon les résultats d'un sondage publié vendredi, les trois quarts des sondés apporteraient leur suffrage au président de la région Auvergne-Rhône-Alpes.
Candidat à la présidence des Républicains, Laurent Wauquiez a démarré sa campagne par un meeting en Lorraine sur les thèmes civilisationnels, devant un public acquis à sa cause.
L'organisation est au cœur d'une polémique depuis que son président s'est dit prêt à une "plateforme" politique avec l'ex-députée FN Marion Maréchal-Le Pen.
Au cœur du dossier, les soupçons d'emplois fictifs de sa femme Penelope et de ses enfants au Parlement.
Invitée d'Europe nuit mercredi, la maire de Taverny, dans le Val-d'Oise, fait partie des quatre candidats en lice pour la présidence du parti Les Républicains, dont l'élection aura lieu en décembre.
Le candidat à la présidence des Républicains s'est montré très ferme vis-à-vis du Front national mercredi. Une façon de rassurer ceux qui, au sein de son parti, s'inquiètent de son positionnement très droitier.
Outre le grand favori Laurent Wauquiez, Florence Portelli, Maël de Calan et Daniel Fasquelle ont recueilli le nombre de parrainages suffisants. A quelques heures de la deadline, Julien Aubert n'est toujours pas certain de pouvoir participer.
"Chacun chez soi, les vaches seront bien gardées", estime Christian Jacob, pour qui les membres des Républicains qui soutiennent le gouvernement doivent quitter le parti.
Candidat à la présidence des Républicains, Laurent Wauquiez estime que le groupe Sens Commun n'aura plus sa place au sein du parti en cas de rapprochement avec des représentants du Front national.
La procédure d'exclusion pour ceux qui ont rejoint le gouvernement d'Emmanuel Macron, dont le Premier ministre Edouard Philippe, se termine mercredi.
Invité d'Europe Matin, le Premier ministre Édouard Philippe s'est dit "rêveur" devant la position du parti Les Républicains, qui s'apprête à l'exclure de ses rangs.
À deux jours de la remise des parrainages pour briguer la présidence du parti Les Républicains, Laurence Sailliet a fait le constat qu'elle ne pouvait pas participer à l'élection.
Au terme d'un bureau politique agité mardi soir, les responsables LR n'ont pas tranché le sort des ministres issus de leur parti et des Constructifs. C'est que la question est loin de faire l'unanimité.
Auditionné devant la Commission des finances de l'Assemblée nationale, le président de l'Association des maires de France a mis en garde contre les "conséquences en chaîne" de la baisse des APL.
Retiré de la vie publique, le candidat LR battu au premier tour de la présidentielle en avril dernier se reconvertit en consultant.
Le maire de Nice affirme sur Europe 1 qu'il aurait voté la loi antiterroriste, adoptée mardi par l'Assemblée nationale.
Le maire LR de Nice Christian Estrosi estime que certains cadres du parti de droite ont une "attitude sectaire".
Marie-Laure Harel et Jérôme Dubus, conseillers de Paris, candidats En marche aux élections sénatoriales ne font plus partie de LR.
Le groupe LR, qui a réélu Bruno Retailleau à sa tête, compte 146 membres dont 6 apparentés et 11 rattachés administrativement.
D'abord officiellement exclu du parti Les Républicains, le ministre des Comptes publics Gérard Darmanin a un délai de huit jours pour "s'expliquer" auprès du parti.