Date de création : 17 novembre 2002 (UMP) changement de nom le 30 mai 2015
Fondateurs : Jacques Chirac et Alain Juppé
Président : Laurent Wauquiez
Positionnement : Droite
Nombre de députés : 103/577
Nombre de sénateurs : 146/348
Date de création : 17 novembre 2002 (UMP) changement de nom le 30 mai 2015
Fondateurs : Jacques Chirac et Alain Juppé
Président : Laurent Wauquiez
Positionnement : Droite
Nombre de députés : 103/577
Nombre de sénateurs : 146/348
Le nouveau président de LR a présenté mercredi une partie de sa nouvelle équipe. Composée de personnalités peu connues, elle tente la synthèse, même si l’aile droite reste largement représentée.
Le président du groupe Les Républicains au Sénat a critiqué jeudi sur Europe 1 ceux qui ont quitté le parti depuis l’élection de Laurent Wauquiez.
Élu à la tête des Républicains, Laurent Wauquiez a présenté mercredi sa nouvelle équipe dirigeante, qu'il présente comme "jeune", avec "de nouveaux visages".
Si les sympathisants de droite jugent assez positivement l'élection de Laurent Wauquiez à la tête des Républicains, le reste des Français est beaucoup plus mesuré, selon un sondage BVA.
Selon Le Parisien, Laurent Wauquiez a réservé la place de vice-présidente déléguée à Virginie Calmels, qui le soutient depuis début septembre.
Le président de la Région des Hauts-de-France Xavier Bertrand a annoncé mardi soir qu'il quittait LR.
Le nouveau président des Républicains a emporté une large victoire dimanche soir. Mais il doit désormais faire face à des chantiers considérables, dont le succès n’est pas garanti.
L'élue bordelaise a voulu couper court à toute éventualité d'alliance entre Les Républicains et le FN.
Le maire de Bordeaux a également salué le "combat courageux de Maël de Calan", arrivé troisième aux élections de dimanche.
L'ancien ministre de l'Intérieur estime "exorbitants" les privilèges réclamés par les nationalistes corses qui ont remporté dimanche l'élection territoriale sur l'île de beauté.
Le vice-président du conseil régional d'Auvergne-Rhône-Alpes a salué au micro d'Europe 1 la très large élection de Laurent Wauquiez à la présidence des Républicains.
Dimanche soir, les militants présents pour acclamer la victoire de Laurent Wauquiez, fraîchement élu président des Républicains, ne doutaient pas de sa capacité à remettre la droite en ordre de marche.
Favori, Laurent Wauquiez a recueilli plus de 74% des suffrages à l'élection de la présidence LR, dimanche soir. Il peut en outre asseoir sa légitimité sur une participation meilleure qu'attendue.
Grand favori de l'élection pour la présidence des Républicains, Laurent Wauqiez l'a emporté dès le premier tour dimanche avec plus de 74% des voix.
Le premier tour de l'élection du président des Républicains, ouverte depuis samedi soir, avait réuni 52.512 votants dimanche à 11 heures.
Le vice-président du FN a déploré au micro d'Europe 1 le refus de Laurent Wauquiez, favori pour prendre la tête des Républicains, de se rapprocher de son parti.
Le premier tour du scrutin aura lieu de samedi à dimanche soir. Pendant 24 heures, les adhérents devront départager Laurent Wauquiez, Florence Portelli et Maël de Calan.
Avant le premier tour de l'élection à la présidence des Républicains dimanche, un sondage montre que Laurent Wauquiez, pourtant mieux placé pour l'emporter, divise profondément l'opinion.
Les Républicains craignent qu'un faible taux de participation, dimanche lors du vote pour la présidence du parti, ne scelle la perte de vitalité d'une droite laminée par la dernière séquence électorale.
"Il n'y aura plus d'alliance avec Les Républicains en tant que parti" si Laurent Wauquiez est élu à la tête de LR, prévient le patron de l'UDI dans les colonnes du "Parisien".
Les adversaires de Laurent Wauquiez à la présidence des Républicains ont bien peu de chances de l’emporter dimanche. Une situation qu’ils ont abordée avec une démarche diamétralement opposée.
Sept maires parisiens doivent rembourser les 11.000 euros d’indemnités de frais de représentation perçus pour chacun d'entre eux, faute d'avoir présenté les justificatifs de dépenses.
Plusieurs personnalités des Républicains craignent que les adhérents ne se mobilisent pas le 10 décembre pour élire le président. Or, plus la participation sera faible, plus le futur chef sera fragilisé.
A quelques jours de l'élection pour la présidence des Républicains, le favori Laurent Wauquiez a assumé une fois de plus ses positions clairement à droite lors d'un meeting près de Lille, lundi.
Malgré un faible suspense, Laurent Wauquiez, Florence Portelli et Maël de Calan jettent leurs dernières forces dans la bataille pour la présidence des Républicains, dont le premier tour a lieu dimanche.
Le proche d'Alain Juppé espère pouvoir incarner la voix des modérés face à la ligne dure de Laurent Wauquiez, annoncé comme le grand favori de l'élection des 10 et 17 décembre.
Quasiment assuré d'être élu président des Républicains, Laurent Wauquiez a une tâche immense qui l'attend pour redresser un parti en crise.
La candidate à la présidence des Républicains confie au "JDD" être convaincue de faire mentir les sondages, dimanche prochain, au premier tour du scrutin.
Le ministre de l'Action et de comptes publics, qui se dit toujours homme de droite malgré son entrée au gouvernement, dresse le portrait d'une droite qui s'est enfoncée dans les erreurs et qui est en train de se radicaliser.
Le mode de scrutin qui va être proposé pour les européennes de 2019 pourrait servir de tremplin médiatique à celui qui sera désigné tête de liste. De quoi susciter les convoitises dans un parti en pleine reconstruction.