Date de création : 17 novembre 2002 (UMP) changement de nom le 30 mai 2015
Fondateurs : Jacques Chirac et Alain Juppé
Président : Laurent Wauquiez
Positionnement : Droite
Nombre de députés : 103/577
Nombre de sénateurs : 146/348
Date de création : 17 novembre 2002 (UMP) changement de nom le 30 mai 2015
Fondateurs : Jacques Chirac et Alain Juppé
Président : Laurent Wauquiez
Positionnement : Droite
Nombre de députés : 103/577
Nombre de sénateurs : 146/348
Le proche d'Alain Juppé espère pouvoir incarner la voix des modérés face à la ligne dure de Laurent Wauquiez, annoncé comme le grand favori de l'élection des 10 et 17 décembre.
Quasiment assuré d'être élu président des Républicains, Laurent Wauquiez a une tâche immense qui l'attend pour redresser un parti en crise.
La candidate à la présidence des Républicains confie au "JDD" être convaincue de faire mentir les sondages, dimanche prochain, au premier tour du scrutin.
Le ministre de l'Action et de comptes publics, qui se dit toujours homme de droite malgré son entrée au gouvernement, dresse le portrait d'une droite qui s'est enfoncée dans les erreurs et qui est en train de se radicaliser.
Le mode de scrutin qui va être proposé pour les européennes de 2019 pourrait servir de tremplin médiatique à celui qui sera désigné tête de liste. De quoi susciter les convoitises dans un parti en pleine reconstruction.
Emmanuel Macron gagne 12 points d'opinion favorables auprès des sympathisants LR tandis qu'Édouard Philippe obtient le résultat le plus élevée pour un Premier ministre depuis 2002.
Lundi soir à Marseille, le favori dans la course à la présidence de LR a tenu un discours devant plusieurs centaines de militants de l'influente fédération des Bouches-du-Rhône.
Invité d'Europe nuit, Franck Riester, cofondateur d'un nouveau parti de droite, Agir, a dénoncé lundi une "parodie d'élection" à la présidence de LR.
Le parti, fondé par une vingtaine d'élus Constructifs, veut se frayer un chemin entre La République en marche! et Les Républicains. Ce qui s'annonce difficile.
Les trois questeurs, ces députés chargés des services financiers de l'Assemblée, sont désormais membres de LREM. L'opposition comme la majorité s'inquiètent d'une situation inédite et peu démocratique.
Officiellement membre de LREM, le député ex-LR Thierry Solère estime qu'il n'a pas à démissionner de son poste de questeur car il a été "élu pour un an".
Une vingtaine d'élus Constructifs ont officiellement lancé dimanche, dans une tribune publiée par Le Figaro, un nouveau parti de droite.
Favori pour prendre la tête du parti de droite, le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes, répond aux questions d’Europe 1, des Echos et de CNews.
Gérald Darmanin, Sébastien Lecornu et Thierry Solère appartiennent désormais officiellement à La République en Marche après avoir été exclus des Républicains en octobre.
Gaël Perdriau a été reçu mercredi à l'Elysée avec plus d'un millier de ses homologues.
L'ancien directeur de campagne de François Fillon assure que l'ex-candidat LR à la présidentielle a donné 300.000 euros à Nicolas Sarkozy pour lui permettre de boucler ses comptes de campagne.
Seul candidat à sa succession, le maire de Troyes a été réélu président de l'AMF pour les trois prochaines années.
Maël de Calan a aussi précisé mercredi que "être dans l'opposition" n'empêche pas de "distribuer des bons points" au gouvernement Macron.
Après la publication d'un rapport jugé "accablant" sur la piétonnisation des voies sur berge, les élus LR point "les graves conséquences de cette décision autoritaire".
En meeting à Paris, le favori de la course à la présidence des Républicains a par ailleurs exclu de proposer une alliance avec Marine Le Pen, ce qu'elle l'a enjoint à faire, dimanche.
Près de six mois après leur création, les "Constructifs" vont muer vers un nouveau mouvement, "Agir, la droite constructive".
Dans une référence au rassemblement de soutien à François Fillon durant la campagne présidentielle, le maire de Nice s'est dit "profondément" inquiet de la transformation de son parti, dimanche.
Le candidat à la présidence des Républicains estime qu'Emmanuel Macron a fait une erreur en opposant "la souveraineté française à la construction européenne".
Alors que l'Assemblée a définitivement adopté mardi la surtaxe exceptionnelle sur les grandes entreprises, les sénateurs LR ont saisi le Conseil constitutionnel.
L'ancienne ministre Michèle Alliot-Marie décrit dans Le Figaro le candidat à la présidence de LR comme celui qui peut le plus apporter "une colonne vertébrale idéologique" au parti de droite.
Alain Juppé a créé des turbulences samedi en évoquant une alliance avec Emmanuel Macron pour les Européennes de 2019. Preuve que sur ce sujet - comme sur d’autres -, les Républicains se déchirent.
"Nous ne partageons pas la même vision de l'Europe qu'Emmanuel Macron", a affirmé le candidat à la présidence LR, dimanche midi sur France 3.
Invitée du "Grand rendez-vous", dimanche, sur Europe 1, la présidente LR de la région Île-de-France a dénoncé l'"autoritarisme un peu puéril" de Laurent Wauquiez, s'inquiétant du "risque de rétrécissement" de la droite.
Invitée du "Grand rendez-vous" dimanche, la présidente LR de la région Île-de-France est revenue sur sa participation à une manifestation d'élus à Clichy-la-Garenne, vendredi.
"Le Grand Rendez-vous", c’est l’émission politique d’Europe 1. En partenariat avec CNEWS et "Les Échos", une heure d’interview sans concession pour obtenir de l’information, décrypter les discours, comprendre les actes et les projets.