Date de création : 17 novembre 2002 (UMP) changement de nom le 30 mai 2015
Fondateurs : Jacques Chirac et Alain Juppé
Président : Laurent Wauquiez
Positionnement : Droite
Nombre de députés : 103/577
Nombre de sénateurs : 146/348
Date de création : 17 novembre 2002 (UMP) changement de nom le 30 mai 2015
Fondateurs : Jacques Chirac et Alain Juppé
Président : Laurent Wauquiez
Positionnement : Droite
Nombre de députés : 103/577
Nombre de sénateurs : 146/348
Pour le député Les Républicains de l'Yonne, Guillaume Larrivé, le chahut qu'a connu l'Assemblée nationale mardi en séance découle de l'amateurisme des députés de la REM.
Serge Dassault, doyen de la Haute Assemblée, a expliqué mercredi à ses collègues qu'il préférait s'arrêter plutôt que de risquer de ne pas obtenir l'investiture pour les élections de septembre.
"S'il a besoin de faire cette mise au point, ça veut dire qu'il y a question", a notamment réagi le député LR Eric Ciotti.
Le président de l'Association des maires de France a assuré que "le risque constitutionnel existe, les avantages sont assez limités et les inconvénients, immenses".
"Il y a un vide abyssal dans son discours sur le régalien, sur l'intégration, sur le creuset républicain. Monsieur Macron n'évoque jamais l'invasion de la barbarie islamiste dans les cerveaux."
Les six élus LR pro-Macron ont été suspendus par leur parti dans l’attente d’une éventuelle exclusion.
L'éventuelle exclusion des élus LR pro-Macron sera décidée au sein d'une commission spéciale créée pour l'occasion.
Les candidats à la présidence du parti de droite ont jusqu'au 11 octobre pour se manifester.
"Sous réserve de la fin des débats, notre état d'esprit est plutôt favorable", a commenté mardi le chef des députés LR Christian Jacob à propos de la réforme du Code du travail.
Le parti peine à s’entendre sur la sanction à appliquer à ses membres "Macron-compatible". Qui ne comptent pas se laisser faire, misant notamment sur la complexité des statuts du mouvement.
Thierry Solère reste persuadé qu'il ne sera pas exclu du parti Les Républicains, mais envisage de déposer un recours si c'était le cas.
En interne, la question de l'exclusion des six députés Les Républicains convoqués à ce bureau politique, qui se sont rapprochés d'Emmanuel Macron, divise.
À la veille du bureau politique LR, Éric Woerth estime que le parti peut se rassembler en un socle solide malgré des lignes divergentes.
Avec le retrait de Valérie Pécresse, la route semble se dégager pour Laurent Wauquiez.
Dans le viseur du parti : Edouard Philippe, Bruno Le Maire, Gérald Darmanin, Thierry Solère ou encore Franck Riester, accusés de dissidence alors que l'opposition de droite se déchire depuis l'échec de la présidentielle.
Le député a vivement critiqué la possible exclusion des membres du groupe "constructifs" des Républicains.
Le parti Les Républicains doit tenir lundi un bureau politique, au cours duquel l'exclusion des "constructifs" sera au menu, Thierry Solère n'est pas sûr de s'y rendre.
La présidente de l'Ile-de-France plaide pour un report du congrès de LR. Et n'épargne pas Laurent Wauquiez.
Sur cette infographie publiée sur le compte Twitter des Républicains, Emmanuel Macron était représenté en banquier, avec un nez crochu, un cigare et une faucille rouge.
Le nouveau président du parti devrait être désigné à la fin de l'année, au terme d'ateliers destinés à analyser les raisons de l'échec à l'élection présidentielle.
Au sein du principal groupe "d'opposition" LR, les trois quarts des 100 députés se sont abstenus. "Une très petite partie ont décidé de voté contre", a relevé Marine Le Pen.
Le président du Sénat déplore que les certains sujets n'aient pas été abordés par Édouard Philippe dans son discours de politique générale mardi, comme les heures supplémentaires ou la baisse des dépenses publiques.
La majorité du groupe LR a l'Assemblée nationale a refusé d'incarner une opposition franche mardi, et choisi l'abstention lors du vote de confiance au Premier ministre.
Favorables à une "opposition libre" mais "constructive", certains députés Les Républicains, UDI pourraient voter la confiance au gouvernement malgré une possible exclusion de leur parti.
Le chef de file des députés LR Christian Jacob a indiqué vendredi sur France 2 qu'ils se rendraient au Congrès convoqué lundi par Emmanuel Macron.
L'ex-candidat En Marche! dans la première circonscription du Lot, battu par LR, a déposé un recours jeudi au Conseil constitutionnel après avoir constaté des "irrégularités".
Bernard Accoyer a déclaré à "L'Opinion" que le sort des "Constructifs" LR sera débattu lors du prochain bureau politique.
Le député LR Eric Ciotti a également dénoncé, de la part de l'exécutif, "une pression sur la presse qui ne doit plus parler".
Battue de seulement 8 voix le 18 juin dernier, Mélusine Harlé, candidate de La République en marche dans le Loiret, a déposé un recours contestant l'élection de son rival LR.
Une bataille inédite se livrait mercredi à l'Assemblée nationale par les groupes d'opposition pour la répartition des postes clefs de vice-présidents et questeurs.