Date de création : 17 novembre 2002 (UMP) changement de nom le 30 mai 2015
Fondateurs : Jacques Chirac et Alain Juppé
Président : Laurent Wauquiez
Positionnement : Droite
Nombre de députés : 103/577
Nombre de sénateurs : 146/348
Date de création : 17 novembre 2002 (UMP) changement de nom le 30 mai 2015
Fondateurs : Jacques Chirac et Alain Juppé
Président : Laurent Wauquiez
Positionnement : Droite
Nombre de députés : 103/577
Nombre de sénateurs : 146/348
Dans le "Journal du dimanche", le président des Républicains estime que "jamais président de la République n'aura été assis sur une telle faille sociologique".
Le président des Républicains a critiqué samedi le compromis du Conseil européen sur la question migratoire, alors même qu’il réunissait sa famille politique pour s'accorder sur la ligne à défendre lors des européennes de 2019.
Les Républicains tiennent samedi leur Conseil national à Menton avec, à l’ordre du jour, les élections européennes qui se tiendront l’année prochaine.
À un an des élections européennes, la droite républicaine se cherche encore une position commune sur l'avenir de l'UE.
Dans un entretien publié jeudi sur le site des "Échos", le président de LR a assuré ne pas avoir "changé de conviction" sur sa vision de l'Europe.
Les Républicains dénoncent "un matraquage fiscal" et affirment que la France "est le troisième pays européen à taxer le plus le gasoil".
L'ancien Premier ministre, européen convaincu, ne voit pas "de travail de fond engagé" sur l'Europe au sein de LR, alors que le parti se réunit samedi pour un conseil national sur la question.
Jeudi, dans un discours, Laurent Wauquiez a estimé que pour faire tenir l'Europe, il fallait davantage mettre en avant les "racines judéo-chrétiennes dont nous sommes les héritiers".
La présidente (LR) de la région Île-de-France a mis en avant un "pacte pour les quartiers populaires" dépassant les trois milliards d'euros sur cinq ans.
Alors que la proposition de Guillaume Peltier divise la droite, Valérie Pécresse veut que "le travail permette de mieux gagner sa vie".
Le patron des Républicains affirme mercredi ne pas vouloir "sombrer dans le nivellement par le bas" de sa famille politique.
La proposition du vice-président des Républicains n'a pas manqué de crisper les principaux ténors du parti des Républicains, déchiré entre libéraux et gaullistes sociaux.
Le patron des députés LREM avait ironisé sur la nomination de Jean Leonetti, auteur d'une loi sur la fin de vie, au poste de numéro 2 de LR.
Limogée dimanche par Laurent Wauquiez après ses critiques dans "Le Parisien", Virginie Calmels s'est rendue mardi au siège du parti pour récupérer ses affaires. Mais elle s'y est heurtée à une série de petites humiliations.
Selon Bruno Le Maire, ex-LR, "la droite du parti des Républicains est une droite identitaire", après le limogeage de la numéro 2 du parti, Virginie Calmels.
Pour la maire LR du 7ème arrondissement de Paris, la majorité municipale n'a pas les ambitions de la politique qu'elle défend en matière de mobilité urbaine.
Pour l’ancienne garde des Sceaux de Nicolas Sarkozy, membre de LR, le limogeage de Virginie Calmels de la direction des Républicains ne doit pas être interprété comme une nouvelle crise politique à droite.
Participant à une réunion publique de Sens commun, le patron de la droite républicaine a glissé une pique contre Virginie Calmels et appelé à la fin des divisions au sein de sa famille politique.
Sur TF1, lundi soir, Virginie Calmels s'est expliquée sur sa sortie au vitriol contre Laurent Wauquiez, dimanche, qui lui a valu d'être débarquée de la direction des Républicains.
Le président de LR a expliqué sa décision de renvoyer la numéro deux du parti dans un courriel envoyé aux adhérents du parti.
Le parti de droite, sujet à des tensions internes sur la pratique du pouvoir de son président, Laurent Wauquiez, pourrait aussi se fracturer sur l'Europe.
"Sans le rassemblement, rien n'est possible", a déclaré l'ancien chef de l'Etat après le limogeage par Laurent Wauquiez de Virginie Calmels de l'équipe dirigeante des Républicains.
Déjà snobé par plusieurs ténors de la droite, Laurent Wauquiez a décidé dimanche de limoger sa vice-présidente Virginie Calmels, après de nouvelles critiques sur sa ligne politique.
Alors qu'il vient d'évincer de la direction du parti la juppéiste Virginie Calmels, le patron des Républicains se rend lundi soir à une réunion du mouvement issu de la Manif pour tous.
Le patron des Républicains, Laurent Wauquiez, a démis dimanche de ses fonctions sa vice-présidente, Virginie Calmels. Le vice-président des Républicains a commenté ce départ sur Europe 1 lundi matin.
Le président des Républicains Laurent Wauquiez a limogé dimanche la numéro 2 du parti, Virginie Calmels, après ses critiques. Jean Leonetti la remplace à la direction.
Dans une interview samedi, Virginie Calmels critique durement le président des Républicains, Laurent Wauquiez, en affirmant qu'il est "uniquement là pour défendre sa propre ligne".
Le ministre Gérald Darmanin n'a pas hésité à tacler son ancienne famille politique, qu'il juge menée par un Laurent Wauquiez trop proche de l'extrême droite.
Selon un sondage sur la prochaine présidentielle, le patron de la région Hauts-de-France devance le président des Républicains, mais également Valérie Pécresse et Christian Estrosi.
Un député LREM a raillé le LR Julien Aubert sur l'insuffisance supposée de son travail parlementaire, l'accusant d'être "trop occupé à de futures échéances électorales".