Publicité
Publicité

Ligue des Champions : le plus ancien fan du PSG se prépare pour la finale avec l'Inter Milan

Charles Bouchain . 1 min

Éric Bidault, plus ancien fan du PSG, se prépare avec joie et fébrilité à quelques jours de la finale de Ligue des champions contre l'Inter samedi à Munich. Europe 1 est allée à sa rencontre.

J-3 avant la finale de Ligue des champions entre le PSG et l’Inter Milan. À Munich, plus de 18.000 supporters parisiens sont attendus avec parmi eux, le fan Éric Bidault. Abonné au parc des Princes depuis 1977, il fait partie des 82 supporters abonnés au PSG depuis plus de 40 ans. Europe 1 l’a rencontré. 

La suite après cette publicité
La suite après cette publicité

"Moi, je vis PSG, je dors, je mange PSG"

Dans son appartement décoré aux couleurs du club, plus de 200 maillots du PSG sont soigneusement conservés. À deux jours du départ, Éric s’affaire. Il cherche son vêtement fétiche : "Il n’est pas dans ce sac-là, il est dans un autre sac de fringues. J’ai un débardeur PSG que j’ai mis à chaque match de Coupe d’Europe cette année, donc je vais le remettre".

Sur l’avant-bras gauche, un tatouage du Parc des Princes. Sur le droit, le logo du club. Huit en tout sur son corps, tous dédiés au PSG. Éric ne pense en ce moment qu’à la finale. "Moi, je vis PSG, je dors, je mange PSG. Je me fais tous les scénarios. Une fois, on prend un but au bout de cinq minutes, on n’arrive pas à revenir… Et des fois, au contraire, on marque tout de suite et on tient jusqu’au bout".

La suite après cette publicité
La suite après cette publicité

Mais peu importe la manière, le résultat est tout ce qui compte. "Même si c’est un but hors-jeu, de la main, un but qui n’est pas valable, je m’en fous. Avec tout ce qu’on a vécu, les hauts, les bas… Il faut la gagner, cette première. On l’attend depuis trop longtemps".

Un moment familial

Même à table, le PSG s’invite dans les conversations. "T’as un verre papa ?", demande Maxime, son fils. "Prends celui du PSG, comme d’habitude", répond Éric, le sourire aux lèvres. Car ce voyage à Munich, il ne le fera pas seul. Maxime sera de la partie. Une première finale père-fils, attendue comme un rêve éveillé. "Dès qu’il m’a proposé, j’étais aux anges. C’est un rêve père-fils. Déjà rien qu’y aller avec lui, ça va être l’un des meilleurs moments de ma vie. Et si on gagne… ça peut être incroyable", souligne le fils de 26 ans. 

La suite après cette publicité
La suite après cette publicité

Les deux se sont même fait une promesse : en cas de victoire, un tatouage commun mentionnant "Munich" et la date de la finale. Ce sera le neuvième pour le père. Et le tout premier pour le fils.