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«Pourquoi on n’isole pas Salah Abdeslam totalement ?» : dix ans après le 13-Novembre, une mère endeuillée exprime son incompréhension

Europe1.fr - Mis à jour le

À l’approche du dixième anniversaire des attentats du 13-Novembre, les premiers hommages se forment à Paris, place de la République. Ce dimanche dans l’émission "Eliot Deval et vous" sur Europe 1, Jocelyne, qui a perdu son fils, Romain, 31 ans, en 2015, exprime sa douleur, son incompréhension face à ce qu’elle perçoit comme des privilèges accordés à Salah Abdeslam.

À l’approche du dixième anniversaire des attentats du 13-Novembre, les premiers hommages se font sentir, avec notamment des dépôts de fleurs et de bougies place de la République, à Paris. Certains viennent en famille, d’autres entre amis, pour se recueillir.

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Ce dimanche, dans l’émission Eliot Deval et vous, Jocelyne, qui a perdu son fils lors des attaques de 2015, exprime sa douleur et son incompréhension face aux privilèges accordés à Salah Abdeslam, responsable des attentats du 13-Novembre 2015. "Pourquoi, lui, on ne l’isole pas totalement ?", s’interroge-t-elle.

Elle tient également à ce qu’on appelle cet acte terroriste les "attentats du 13-Novembre". "Parce qu’on parle toujours des attentats du Bataclan et on oublie le Stade [de France], on oublie les bars… On a l’impression qu’ils n’existaient pas. Mais ces personnes ont existé. Alors, on aimerait bien qu’on entende juste 'attentats du 13-Novembre'", demande-t-elle.