«Nuit du bien commun» attaquée par l’ultra-gauche : «Ce n’est pas de la violence pour faire peur, mais pour tuer ou blesser gravement», assure Arthur de Watrigant
Invité d'Eliot Deval et vous, Arthur de Watrigant, directeur de l’information de "L’Incorrect" est revenu sur les heurts perpétrés par l'ultra-gauche lors de la "Nuit du bien commun". Pour lui, cette violence est faite pour "tuer". Réécoutez l'extrait. Vous pouvez réagir au 01.80.20.39.21.
Une soirée caritative perturbée. Jeudi soir, la soirée "Nuit du bien commun" au bénéfice de 12 associations a été perturbée notamment par des membres de l'ultra-gauche. Malgré la "folie meurtrière" décrite par Aymeric Rouillac, commissaire-priseur de l'événement, près de 700.000 euros ont été récoltés.
Invité d'Eliot Deval et vous, Arthur de Watrigant, directeur de l’information de L’Incorrect, l'assure "la violence est consubstantielle à l'extrême-gauche. Ça a toujours été comme ça. Et la violence est légitimée à partir du moment où vous nommez l'adversaire non pas comme un adversaire, mais comme un ennemi. L'ennemi on l'abat, on ne parle pas avec lui, on ne le combat pas, on l'élimine."
Pour lui, la violence lors de cette soirée, "ce n'est pas juste de la violence pour faire peur, c'est de la violence pour éliminer, pour tuer, ou pour blesser gravement."
