«L'État ne se fait pas respecter», constate Nicolas Dupont-Aignan
«L'État ne se fait pas respecter», a constaté Nicolas Dupont-Aignan ce mercredi 17 septembre sur Europe 1 et CNEWS lors de la Grande Interview de Sonia Mabrouk. Le président de Debout la France est revenu sur le lynchage de sept policiers à Reims en dehors de leur service.
Invité de la Grande Interview de Sonia Mabrouk sur Europe 1 et CNEWS, Nicolas Dupont-Aignan a réagi au lynchage de sept policiers à Reims en dehors de leur service. Selon, le président de Debout la France, "on a atteint les limites depuis bien longtemps".
"L'État ne se fait pas respecter. On sait ce qu'il faut faire. C'est ça qui est insupportable et c'est pourquoi je demande que ça s'arrête. On sait ce qu'il faut faire. J'avais proposé à l'élection présidentielle cinq référendums. Un sur l'école, un sur l'Union européenne, un sur la réforme du code pénal par référendum. Aujourd'hui , la France est dans un tel état de compromission politique que seul le peuple peut arbitrer. Et je sais qu'il y aura une majorité", a assuré Nicolas Dupont-Aignan.
"Non, mais je vois bien que tous les partis sont obsédés par un calendrier politique. En fait, c'est terrible. Ils n'ont pas conscience du temps qui passe. Nous sommes au bord de la crise financière. les forces économiques sont épuisées, nos chefs d'entreprise n'en peuvent plus, nos policiers n'en peuvent plus, la société est meurtrie, on ne sait pas comment ça peut dégénérer demain. Donc il y a un moment où on passe au-dessus de la politique, on passe à l'intérêt de la France", a détaillé le président de Debout la France.
