Publicité
Publicité

Crise politique : «La seule façon de sortir du chaos, c'est l'appel au peuple», martèle Nicolas Dupont-Aignan

Europe 1 - Mis à jour le . 1 min

Le président de Debout la France Nicolas Dupont-Aignan était l'invité du Grand Rendez-vous Europe 1/CNews/ Les Echos. Au micro de Pierre de Vilno, il appelle Emmanuel Macron a réorganiser rapidement des élections pour sortir de la crise politique. "La seule façon de sortir du chaos, c'est l'appel au peuple", martèle-t-il.

La France traverse une nouvelle période d'instabilité politique. Après la démission de Sébastien Lecornu en début de semaine, le président de la République Emmanuel Macron a fait le choix de nommer ... Sébastien Lecornu comme nouveau chef du gouvernement. Une décision qui révolte les oppositions, du Rassemblement national à La France insoumise, en passant par les Écologistes, mais aussi Les Républicains, qui ont annoncé qu'ils ne feraient plus partie du gouvernement. 

La suite après cette publicité
La suite après cette publicité

Invité ce dimanche matin sur le plateau du Grand Rendez-vous Europe 1/ CNews/ Les Echos, le président de Debout la France Nicolas Dupont-Aignan, appelle Emmanuel Macron a organiser de nouvelles élections prochainement pour pouvoir mettre fin au chaos. 

Deux possibilités de résoudre la crise

"Le problème de fond, qui est terrible et tragique pour le pays, c'est quand il n'y a pas de légitimité démocratique, tout s'effondre", juge-t-il au micro de Pierre de Vilno. Avant d'ajouter : "Le garant du fonctionnement de la France est en fait aujourd'hui le responsable (...) permanent d'un chaos. Est-ce qu'à un moment, il réalise que la seule façon de sortir du chaos, c'est l'appel au peuple?" 

La suite après cette publicité
La suite après cette publicité

"Il n'y a que les Français qui puissent trancher cette espèce de drame, de folie collective, politicienne. Il n'a que les Français qui peuvent débloquer la situation. Ils peuvent la débloquer de deux façons. Soit, par de nouvelles élections législatives qui rebattent les cartes au Parlement et qui permettraient peut-être d'avoir au moins un semblant de majorité pour un an. Soit, ma préférence, par une nouvelle élection présidentielle, parce que c'est la logique profonde des institutions", conclut-il.