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En France, plus de 150 squats de migrants soutenus et financés par l’extrême gauche

Jean-Baptiste Marty - Mis à jour le . 1 min

Les squats de migrants ne cessent de se multiplier dans l'Hexagone. Beaucoup d'entre eux seraient "gérés" par des associations, soutenues et financées par l'extrême gauche. Tout serait fait pour que les occupants illégaux ne puissent être délogés.

Partout en France, les squats de migrants ne cessent de se multiplier. Un phénomène qui inquiète de plus en plus les autorités, qui auraient identifié, selon les informations d’Europe 1, les 150 plus importants. Au moins 2.000 clandestins y vivraient.

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Trafics de drogues et de médicaments

Ces occupations illégales sont, dans la majorité des cas, permises par des associations d’extrême gauche. Des militants d’Utopia ou de No borders repèrent des habitations vides pour y installer des migrants, issus du Maghreb et de l’Afrique subsaharienne. Ces derniers opèrent en toute discrétion, souvent de nuit.

"On est pourvu de nombreuses associations qui expliquent à ces gens comment faire. Ils ont même des listings de maisons qui seraient à squatter, inhabitées", explique Grégory Hemous, policier à Toulouse du syndicat Alliance.

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Et tout est fait pour que les clandestins ne soient jamais délogés : les associations inscrivent leurs noms sur les boîtes aux lettres pour faire croire à une présence légale en cas de contrôle. "C’était à Tournefeuille, où les gens ne parlaient même pas français. On ne nous laissait pas entrer. Ils nous avaient montré un papier qui expliquait -nous sommes là, nous avons le droit d’être là parce que l’article-ci, l’article-là-. Ce n’est pas eux qui l’avaient pondu, ça...", ajoute le policier.

Outre l’insalubrité de ces occupations illégales, les trafics de drogues et de médicaments en tout genre s'y multiplient, tout comme les rixes, obligeant les policiers à multiplier les interventions. A Toulouse, deux opérations anti-squats sont par exemple programmées chaque semaine.