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Casseurs dans les manifestations : «On courbe l’échine, on capitule devant ces factieux», affirme une auditrice

Ugo Pascolo

Marie, parisienne de 65 ans et auditrice de "Christine Kelly et vous", déplore la présence de casseurs dans les manifestations. Elle témoigne des scènes de chaos et du "no man's land" après le passage des casseurs. Réécoutez l'extrait. Vous pouvez réagir au 01.80.20.39.21.

C'est malheureusement devenu une scène banale des manifestations en France : des gens tout de noir vêtus qui dégradent, cassent ce qui leur passe à portée de mains et affrontent les forces de l'ordre. Et ce jeudi 18 septembre échappe à la règle : preuve en est, malgré les 80.000 policiers et gendarmes mobilisés sur l'ensemble du territoire, des manifestants ont réussi à s'introduire au sein du ministère de l'Economie. Une violence que déplore, Marie, auditrice de Christine Kelly et vous qui fête ses 65 ans.

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"Tous ces gens ont pris la rue en otage"

"J'habite à Paris, donc je ne sais pas si dans toute la France on se rend bien compte de l'état de nos rues, de l'état des magasins, des banques... c'est un no man's land après leur passage."

Et de dénoncer "tous ces gens ont pris la rue en otage". "Même si nous avions envie d'aller manifester, on ne peut pas s'associer à ces gens qui vont casser, qui vont taper de nos forces de l'ordre. Ce n'est pas possible. Ils empêchent ces gens de travailler, les rideaux sont baissés... En fait on courbe l'échine, on capitule devant ces factieux, c'est quand même absolument anormal."

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