Télétravail 1:25
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Noa Moussa, édité par Alexandre Dalifard , modifié à
Face à la deuxième journée de mobilisation sociale prévue le 31 janvier prochain, les Français risquent d'être bloqués et vont donc favoriser le télétravail. Une question se pose : comment faire pour être assuré en cas d'accident du travail ? Pour cela, l'assurance pour le télétravail Offishall Care a été lancée.

Le 31 janvier prochain, en raison de la deuxième journée de mobilisation sociale contre la réforme des retraites, il sera compliqué pour les Français de se déplacer et de se rendre au travail. Face à cela, le télétravail risque d'être privilégié par les salariés. Mais dans ce cas, comment faire pour être assuré en cas d'accident du travail ? 18 millions de télétravailleurs français ne sont pas assurés en cas de dommage physique. Mais Offishall Care, une assurance pour le télétravail, a été lancée en partenariat avec Allianz.

"Plus proche de la réalité du télétravail"

Celle-ci couvre tous les accidents qui peuvent survenir pendant une journée de télétravail, que vous soyez à domicile, en pause déjeuner ou même en route pour récupérer vos enfants à l'école. Il n'y a qu'une seule condition, que l'accident ait lieu pendant vos horaires de travail. Et cette assurance protège aussi vos proches, comme l'explique Audrey Barbier-Litvak, co-fondatrice de l'Offishall Care. "Il fallait que les employeurs soient au plus proche de la réalité du télétravail. La réalité, c'est les parents célibataires qui ne vont pas payer une nounou parce qu'ils sont au domicile et que ça leur coûte de l'argent. Donc il fallait prendre vraiment la nouvelle acception du travail et donc du télétravail pour assurer la responsabilité sociale et économique de l'entreprise".

"Comment on protège nos collaborateurs qui sont en télétravail de façon équivalente à ceux qui sont au bureau ?", s'interroge-t-elle. À noter que vous ne pourrez bénéficier de cette garantie que si votre entreprise devient cliente officielle, car son prix, totalement à la charge de votre employeur est fixé à 2,50 euros par mois et par salarié.