Publicité
Publicité

Sébastien Lecornu annonce que son gouvernement sera nommé «avant le début des travaux parlementaires» le 1er octobre

Europe 1
Nouveau Premier ministre : Sébastien Lecornu multiplie les consultations pour consolider l’alliance entre les macronistes et les Républicains
Nouveau Premier ministre : Sébastien Lecornu multiplie les consultations pour consolider l’alliance entre les macronistes et les Républicains Magali Cohen / Hans Lucas / Hans Lucas via AFP / © Magali Cohen / Hans Lucas / Hans Lucas via AFP

Dans un entretien accordé ce 26 septembre au "Parisien", le nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu a révélé que son gouvernement sera nommé "avant le début des travaux parlementaires", soit mercredi 1er octobre. Il a assuré que les nouveaux ministres "devront partager les grandes orientations du socle commun."

Des nouveaux ministres "qui devront partager les grandes orientations du socle commun" et qui ne seront pas issus "d'une formation politique qui ne soutiendrait pas le gouvernement." C'est avec ces deux critères que le Premier ministre Sébastien Lecornu veut composer son gouvernement, qui sera nommé d'ici le 1er octobre 2025, avant le début des travaux parlementaires.

La suite après cette publicité
La suite après cette publicité

Des ministres qui devront "savoir négocier"

"Je ne veux pas de débauchage de personnalité issue d’une formation politique qui ne soutiendrait pas le gouvernement. Cela n’aurait aucun sens, il faut de la clarté pour pouvoir justement trouver des compromis avec les oppositions", a expliqué le Premier ministre lors d'un entretien accordé au Parisien et publié ce 26 septembre.

Ces nouveaux ministres devront également "savoir négocier avec le Parlement, les partenaires sociaux et les collectivités locales. On ne peut pas avoir des ministres qui se contentent de dire 'circulez, il n’y a rien à voir'. Sinon ça ne fonctionnera pas", a-t-il asséné. 

La suite après cette publicité
La suite après cette publicité

Pour justifier l'attente du nouveau gouvernement, le Premier ministre s'en prend dans les colonnes du quotidien au "décalage entre la vie politico-médiatique parisienne et les intérêts du pays". Pour lui, le Parlement "occupe pour la première fois depuis longtemps une place centrale" dans la vie politique, et "ce Parlement définira le budget de la Nation."