La mobilisation de mardi "tend à confirmer qu'il n'y a pas de convergence des luttes"

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Emmanuel Macron assure que la mobilisation de mardi montre qu'il "n'y a pas de convergence des luttes" © LUDOVIC MARIN / POOL / AFP
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avec AFP , modifié à
Le chef de l'État a déclaré en Conseil des ministres que la mobilisation de mardi montrait qu"'il n'y avait pas de convergence des luttes". 

Emmanuel Macron a estimé mercredi en Conseil des ministres que la mobilisation de mardi pour le service public était "moindre que celle de mars, ce qui tend à confirmer l'idée qu'il n'y a pas de convergence des luttes", a rapporté le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux.

Pas de "convergence des luttes", selon Macron. Le chef de l'État "est revenu sur la mobilisation qui s'est tenue hier, dont on peut noter qu'elle est moindre que celle du mois de mars, ce qui tend à confirmer l'idée qu'il n'y a pas de convergence des luttes", a indiqué Benjamin Griveaux, tout en mettant en avant, face à la "vot'action" montrant le rejet par les cheminots de la réforme de la SNCF, "le soutien croissant" de la population à cette réforme.

Reprise de la dette de la SNCF. Évoquant la "vot'action" montrant le rejet par les cheminots de la réforme de la SNCF, il a noté qu'"avec un score important, elle ne dit pas comment il est envisageable de sortir de la crise".  "Dans ce contexte, il y a un rendez-vous important fixé à la fin de la semaine pour cette réforme du service public ferroviaire, avec un point d'attention particulier notamment sur les questions de reprise de la dette", a-t-il indiqué.