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Tiffany Fillon
Mardi, l'émission d'aventure Pékin Express fait son grand retour sur M6. Quinze ans après sa première diffusion, Stéphane Rotenberg est revenu, mardi, dans "L'équipée sauvage", sur son premier plateau en Russie, au milieu de la Place Rouge. Il a raconté pourquoi il était impossible de savoir où était précisément les candidats entre l'Estonie et Moscou et quand il allait arriver sur la Place Rouge. 
TÉMOIGNAGE

Après quinze ans d'existence, l'émission d'aventure Pékin Express, fait son retour mardi soir sur M6. Pour l'occasion, la chaîne a fait appel à quatorze candidats emblématiques de l'émission. Cette fois, ils auront pour mission de rejoindre Pékin en partance de Moscou. Retour donc sur les traces de la première édition de Pékin Express, toujours animée par Stéphane Rotenberg. Au micro de Matthieu Noël, il a raconté mardi son premier plateau en Russie, au milieu de la Place Rouge, à Moscou.

"À l'époque, les moyens de transmission n'étaient pas aussi élaborés qu'aujourd'hui donc on ne savait pas si les candidats allaient arriver", explique Stéphane Rotenberg. "On les avait lâchés à la frontière entre l'Estonie et la Russie et pendant trois jours, nous étions sans nouvelles d'eux". Même si "des assistants équipés de talkies-walkies" attendaient l'arrivée des candidats, Stéphane Rotenberg se souvient d'avoir "attendu cinq heures" entre l'arrivée des premiers et des derniers candidats. 

Éviter les conducteurs ivres ou armés 

En traversant la Russie, les candidats se sont exposés à plusieurs risques inexistants en France. "Parfois, les gens sont armés et se baladent avec une arme, ou avec un flingue sous le siège", raconte Stéphane Rotenberg. "Il fallait donc sélectionner", d'après lui, les conducteurs volontaires pour accueillir les candidats en stop. Autre raison valable pour redoubler de vigilance : la "tolérance fascinante sur la conduite en état d'ivresse", en Russie