Victoire de Javier Milei aux élections législatives de mi-mandat en Argentine : réécoutez son interview par Louis Sarkozy dans le podcast «En toute liberté»
Ce dimanche, le président argentin Javier Milei a largement remporté les élections législatives de mi-mandat, avec 40,70% des voix. Il y a quelques semaines, il avait été interviewé par Louis Sarkozy dans le podcast "En toute liberté", produit par le média belge "21NEWS" et à découvrir sur Europe1.fr. L'occasion de le réécouter.
40,70% des voix. Ce dimanche, le parti La Libertad Avanza du président argentin Javier Milei a largement remporté les élections législatives de mi-mandat en Argentine. Il y a quelques semaines, il s'était exprimé en exclusivité au micro de Louis Sarkozy, dans le podcast "En toute liberté", produit par le média belge "21NEWS" et à découvrir sur Europe1.fr. L'occasion de redécouvrir cette interview.
Redécouvrez le podcast :
Durant cette interview, le chef d'État argentin avait évoqué ses projets en cas de victoire lors de ces législatives : "Nous allons fondamentalement accélérer la réforme fiscale pour pouvoir baisser les impôts. Cela nous permettra de mener une réforme du travail. Une fois la réforme du travail effectuée, nous pourrons ouvrir davantage l’économie", a-t-il notamment déclaré. "Les gens croient qu’une route doit être construite par l’État. Mais au Chili, elles sont privées, et elles sont infiniment meilleures que celles d’Argentine", avait-il ajouté.
"Il faut bien choisir les termes" sur l'immigration, selon Milei
Face au fils de l'ancien président Nicolas Sarkozy, Javier Milei avait également évoqué les questions économiques, et répondu à 200 économistes, dont Thomas Piketty, qui prédisaient une catastrophe économique s'il était élu. "Qu'il commencent à lire l'autre partie de la bibliothèque", leur avait-t-il alors répondu.
Les deux hommes avaient également échangé sur de nombreux sujets, comme la gauche, Israël ou encore l'immigration. Sur ce dernier point, Javier Milei avait déclaré : "S’ils s’intègrent à la vie et aux coutumes de la société où ils arrivent, pas de problème. Mais s’ils viennent et triplent la population avec une base culturelle qui n’est pas celle à laquelle tu adhérais, ce n’est plus de l’immigration, c’est une invasion. Il me semble qu’il faut bien choisir les termes", avait-il conclu.
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