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«Si Poutine était aux portes de Paris, l’Assemblée n’aurait pas légiférée sur le frelon asiatique cette semaine», lance Sébastien Chenu

Ugo Pascolo

Invité d'Europe 1 matin week-end, le vice-président du Rassemblement national, Sébastien Chenu, affirme qu'Emmanuel Macron "tire sur la corde de l'Ukraine". Il a "joué sur la peur", lors de son allocution aux Français. Pour le député, s'il y avait une vraie menace, l'agenda de l'Assemblée nationale aurait été bouleversé.

Il l'affirme sans détours, dans son allocution aux Français mercredi soir, Emmanuel Macron a "joué sur la peur". Le chef de l'État "cherche à tirer sur la corde de l'Ukraine tant qu'il peut" affirme Sébastien Chenu. Preuve en est, selon le vice-président du Rassemblement national, invité d'Europe 1 Matin week-end, "s'il y avait une menace, l'Assemblée nationale n'aurait pas cette semaine légiférée sur le frelon asiatique et sur les démarchages téléphoniques intempestifs. S'il y avait une menace de Vladimir Poutine aux portes de Paris, on ne serait pas en train de faire ça."

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