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Reconnaissance de l’Etat de Palestine : «Une récompense» pour le Hamas, dénonce Donald Trump

Europe 1 - Mis à jour le . 1 min

Ce mardi, au lendemain de la reconnaissance de l’Etat de Palestine annoncée par Emmanuel Macron au nom de la France, Donald Trump s’est exprimé à la tribune de l’ONU. Le chef de l’Etat américain a estimé que la décision du président français, suivie par plusieurs autres pays, était "une récompense" pour le Hamas.

Le président américain, Donald Trump, a déclaré, ce mardi 23 septembre, à la tribune de l'ONU que la reconnaissance d'un Etat de Palestine constituerait une "récompense" pour les "atrocités" commises par le Hamas. "Ce serait une récompense pour ces atrocités horribles, y compris celles du 7 octobre, alors même qu'ils refusent de libérer les otages ou d'accepter un cessez-le-feu", a affirmé le président américain.

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Pendant cette prise de parole, Donald Trump a également accusé la Chine et l'Inde d'être "les premiers soutiens financiers" de la machine de guerre russe, les appelant eux et les Européens à arrêter d'acheter de l'énergie russe.

"La Chine et l'Inde sont les premiers soutiens financiers de la guerre en cours parce qu'ils continuent à acheter du pétrole russe. Mais de façon inexcusable, même les pays de l'Otan n'ont pas suffisamment réduit l'énergie russe", a-t-il déclaré. Quant aux Européens, "ils doivent immédiatement arrêter tout achat d'énergie russe. Sinon, nous perdons beaucoup de temps", a-t-il ajouté.

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"Il est temps de mettre fin à l'expérience ratée des frontières ouvertes"

Le président américain a poursuivi en déclarant que les alliés européens "vont droit en enfer" à cause de leurs politiques migratoires, tout en vantant sa propre politique contre l'immigration illégale. "Il est temps de mettre fin à l'expérience ratée des frontières ouvertes", a déclaré Donald Trump devant l'Assemblée générale de l'ONU, s'en prenant également au maire de Londres, Sadiq Khan, premier maire musulman d'une capitale occidentale.

Enfin, le président américain a promis de "réduire à néant" les trafiquants de drogue vénézuéliens, alors que l'armée américaine a assuré avoir déjà détruit au moins trois navires transportant de la drogue. "A tout malfrat terroriste qui trafique de la drogue empoisonnée vers les Etats-Unis d'Amérique, soyez averti, nous allons vous réduire à néant", a-t-il conclu.