Publicité
Publicité

Immobilier : pourquoi c'est le bon moment d'acheter, les réponses de Mireille Weinberg du magazine Capital

Yanis Darras - Mis à jour le . 1 min

Alors que l'instabilité politique se profile de nouveau en France, faut-il encore acheter un bien immobilier ? Oui, assure Mireille Weinberg, rédactrice en chef adjointe du magazine Capital, qui estime que de bonnes affaires sont encore réalisables. Mais la montre tourne, prévient-elle, alors que déjà les taux d'intérêts remontent. Un sujet à découvrir dans le cadre de la journée "immobilier" sur Europe 1, en partenariat avec Capital.

Neuf ou dans l'ancien, à la campagne ou en centre-ville... Acheter un bien immobilier n'est jamais une mince à faire. Et la perspective d'une crise politique ne devrait pas rassurer les acheteurs. Pourtant, le moment est propice pour les Français actuellement sur le marché, insiste au micro d'Europe 1 Mireille Weinberg, rédactrice en chef adjointe du magazine Capital, à l'occasion de la journée "immobilier" sur notre antenne, en partenariat avec Capital.

La suite après cette publicité
La suite après cette publicité

"C'est le moment de négocier", insiste-t-elle, alors que sa rédaction publie, en partenariat avec Europe 1, un numéro spécial pour "acheter moins cher". Et elle l'assure : "Les prix ont cessé de baisser. Donc, ils vont même un petit peu remonter. Les taux des crédits immobiliers ont eux aussi manifestement cessé de baisser et vont peut-être aussi un peu remonter. Donc, c'est le bon moment pour faire des bonnes affaires", insiste-t-elle. 

De belles négociations possibles

"Et oui, on peut négocier. On peut négocier notamment quand il y a un mauvais DPE (Diagnositic de performance énergétique). On peut s'offrir dans cette situation une baisse du prix pouvant aller jusqu'à 30% si c'est vraiment un mauvais DPE. Il y a aussi ceux qui négocient parce que la taxe foncière est élevée, ceux qui négocient car les charges de co-propriété sont importantes, etc. Donc, comme on dit, la balle est dans le camp des acheteurs". 

La suite après cette publicité
La suite après cette publicité

Mais avec le possible départ de François Bayrou, gare à la hausse des taux dans les prochaines semaines, prévient Mireille Weinberg. Autant de raison qui devraient pousser les hésitants à sauter le pas prochainement.