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«Fabriqué en France», cinquième édition : 123 exposants ce week-end à l'Élysée

Alexis Delafontaine . 1 min
Fabriqué en France.
Fabriqué en France. © Ludovic MARIN / AFP

Ce week-end, la Grande exposition du Fabriqué en France ouvre ses portes au public à l'Élysée pour sa cinquième édition. Une initiative lancée par le président de la République, Emmanuel Macron, afin de relancer le Made in France, notamment pour lutter contre l'invasion des produits chinois.

La Grande exposition du Fabriqué en France organisée à l'Élysée s'ouvre ce vendredi au public pour tout le week-end. C'est la cinquième édition de cette initiative lancée par Emmanuel Macron pour tenter de relancer le Made in France contre l'invasion des produits chinois.

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La réindustrialisation française : un objectif clair pour Emmanuel Macron

La polémique de Shein, les voitures BYD... Les produits chinois envahissent notre marché. Après le salon du Made in France la semaine dernière, Emmanuel Macron, inaugure cette grande exposition avec 123 produits fabriqués en France.

Et chacun peut trouver son bonheur : de la Tomme de chèvre de Saint-Pierre-et-Miquelon, de la vanille de La Réunion, des vestes de berger brodées en Ardèche et même un ballon dirigeable du Vaucluse. Emmanuel Macron veut faire de ces produits le symbole de la réindustrialisation française et en profite pour défendre son bilan.

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"Je pense que ce qu'on a fait depuis huit ans fonctionne. On a augmenté l'attractivité, on a baissé le chômage, on a une des plus fortes croissances d'Europe, les chiffres de trimestre le montrent encore, la moitié de la croissance de la zone euro, c'est la France. On a augmenté le taux d'activité, baissé le chômage des jeunes, etc. Donc les résultats sont là. On a endigué 12 ans de désindustrialisation. Et on commence à remonter", assure le président de la République.

Le message est clair : le nouveau gouvernement Lecornu doit garder le même cap, alors que les débats budgétaires s'embourbent et que les impôts explosent. Le chef de l'État tente encore d'imposer sa politique de l'offre à l'Assemblée nationale, même s'il a perdu sa majorité.