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libye - Toute l'info et l'actualité sur Europe 1.
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Le chef de l'Etat préside mardi une réunion des principaux acteurs politiques de la Libye, avec pour objectif la mise en place d'élections présidentielle et législatives d'ici décembre.
Les principaux responsables libyens sont reçus par Emmanuel Macron afin de tenter d'ouvrir la voie à des élections dans leur pays, tombé dans le chaos depuis 2011.
Dimanche, les gardes-côtes libyens ont empêché un navire humanitaire de s'approcher d'une embarcation en détresse alors que des migrants étaient à l'eau.
Cet attentat, survenu mercredi, visait le siège de la Haute commission électorale libyenne (Hnec) à Tripoli.
En Libye, "le processus politique doit aller de l'avant", a déclaré dimanche le ministre des Affaires étrangères lors d'une visite en Egypte.
Au moins 11 corps de migrants ont été récupérés et 263 personnes secourues dimanche lors de deux opérations de sauvetage menées au large des côtes libyennes.
Selon l'Armée nationale libyenne, un homme fort du maréchal Khalifa Haftar a échappé à un attentat à la voiture piégée mercredi, à Benghazi. Un civil a été tué.
L'agence de l'ONU pour les réfugiés dit manquer de 85 millions de dollars pour assurer une meilleure aide à ces populations.
Les corps de trois enfants d'une même famille, enlevés en 2015, ont été retrouvés samedi après les aveux de l'un de leurs ravisseurs, provoquant émoi et consternation de la population et des autorités.
L'ONG SOS Méditerranée déplore le fait de ne pas avoir pu secourir certains migrants en détresse, après un naufrage au large des côtes libyennes, samedi.
L'explosion d'une voiture à un barrage tenu par des forces loyalistes a fait au moins huit morts dont plusieurs civils.
Au micro d'Europe 1, l'essayiste a défendu l'intervention française en Libye en 2011, contre le régime de Mouammar Kadhafi.
La justice britannique a annoncé la libération sous caution d'Alexandre Djouhri, impliqué dans l'enquête sur les soupçons de financement libyen de la campagne présidentielle de 2007.
Brice Hortefeux, ancien ministre de Nicolas Sarkozy, plaide son innocence dans une interview au "Parisien" quant à son implication dans les présumés financements libyens de la campagne de 2007.
Dans une interview au JDD, Nicolas Sarkozy accuse de nouveau le clan Kadhafi, les journalistes de Mediapart et Ziad Takieddine de le "salir" avec l'affaire des présumés financements libyens.
Nicolas Sarkozy, mis en examen dans le dossier du financement libyen présumé de sa campagne présidentielle de 2007, s’est longuement défendu jeudi au 20h de TF1.
Pour la députée européenne LR, interrogée vendredi sur Europe 1, la mise en cause de l’ancien chef de l'Etat porte directement atteinte à la République.
Parmi les chefs de mise en examen de l’ancien président de la République figure la "corruption passive". Les juges soupçonnent en effet Nicolas Sarkozy d'avoir conclu un pacte avec le régime libyen.
Nicolas Sarkozy était entendu depuis mardi matin dans l'enquête sur les soupçons de financement de sa campagne présidentielle de 2007.
Outre le médiatisé homme d'affaire franco-libanais Ziad Takieddine, la justice française s'intéresse de près à Béchir Salah, ex-haut fonctionnaire libyen, et à l'intermédiaire français Alexandre Djouhri.
Placé en garde à vue mardi, l’ancien président est interrogé par les policiers dans le dossier du financement libyen présumé de sa campagne présidentielle de 2007.
Le fils de Mouammar Kadhafi peut compter sur de nombreux soutiens au milieu d'un pays divisé entre clans depuis la guerre de 2011.
Selon les informations d'Europe 1, les juges d'instruction ont laissé l'ex-président rentrer à son domicile, après 16 heures de garde à vue dans le cadre de l'enquête sur les soupçons de financement libyens de sa campagne 2007. Nicolas
Pour le fondateur de Mediapart, l'accumulation de preuves rend irréfutable un financement d'origine libyenne de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007.
Fabrice Arfi, journaliste à Mediapart, estime sur Europe 1 que les présumés financements libyens de la campagne de Nicolas Sarkozy sont "plus graves que le Watergate".
Après le placement en garde à vue de Nicolas Sarkozy mardi, Violette Lazard, journaliste à L'Obs, évoque une situation de plus en plus complexe pour la droite et Nicolas Sarkozy. Bruno Jeudy, de Paris Match, se montre prudent mais perplexe.
L’ancien chef de l’Etat a été mis en examen mercredi. Les enquêteurs le soupçonnent d’avoir profité de fonds libyens pour financer sa campagne présidentielle - victorieuse - de 2007.
De nouveaux éléments dans le dossier, sur lequel la justice travaille depuis 2013, ont poussé les policiers à placer l'ancien président de la République en garde à vue, mardi.
L'ancien président de la République est entendu mardi sous le régime de la garde à vue sur les soupçons de financement illicite qui pèsent sur sa campagne victorieuse de 2007.
L'homme d'affaires français est une figure clef dans l'enquête sur des soupçons de financement libyen de la campagne de l'ex-président Nicolas Sarkozy en 2007.