Date de création : 17 novembre 2002 (UMP) changement de nom le 30 mai 2015
Fondateurs : Jacques Chirac et Alain Juppé
Président : Laurent Wauquiez
Positionnement : Droite
Nombre de députés : 103/577
Nombre de sénateurs : 146/348
Date de création : 17 novembre 2002 (UMP) changement de nom le 30 mai 2015
Fondateurs : Jacques Chirac et Alain Juppé
Président : Laurent Wauquiez
Positionnement : Droite
Nombre de députés : 103/577
Nombre de sénateurs : 146/348
Luc Chatel, député de la Haute-Marne, assure que "rien n'est joué dans la primaire".
Incisive, mordante, concrète, l’émission politique de référence la plus écoutée du week-end est le rendez-vous de tous les hommes et femmes politiques qui font l'actualité. #LeGrandRDV
Seulement quatorze personnes ont voté contre, en brandissant le côté rouge du bulletin.
Le président du parti Les Républicains va présider le conseil national du parti Les Républicains, samedi.
64% des Français jugent la primaire de la droite et du cente pas "équitable pour tous les candidats", selon un sondage Odoxa publié vendredi.
Nicolas Sarkozy prône le cumul et souhaite donc revenir sur la loi socialiste qui entrera en vigueur en 2017. Mais sa propre famille politique ne le suit pas sur ce terrain.
Deux personnes en scooter ont tiré plusieurs fois sur la vitrine de cette permanence, mardi vers minuit. Une enquête a été ouverte.
Patrick Balkany, réinvesti pour les législatives de 2017 dans les Hauts-de-Seine, pourrait laisser sa place à Agnès Pottier-Dumas, conseillère municipale à Levallois.
Le maire de Bordeaux, candidat à la primaire de droite, veut bien consulter les peuples européens mais seulement une fois après avoir établi un nouveau projet européen.
L'ancien Premier ministre a réagi aux propositions de Nicolas Sarkozy d'investir Patrick Balkany et George Tron pour les législatives, dimanche sur Europe 1.
François Fillon préfère approfondir un diagnostic pour ensuite imaginer une solution, plutôt que de céder à la tentation du référendum sur la sortie de l'Europe.
L'ancien Premier ministre a réagi aux propositions de Nicolas Sarkozy d'investir Patrick Balkany et George Tron pour les législatives, dimanche sur Europe 1.
Incisive, mordante, concrète, l’émission politique de référence la plus écoutée du week-end est le rendez-vous de tous les hommes et femmes politiques qui font l'actualité. #LeGrandRDV
La désignation de Patrick Balkany et Georges Tron pour les législatives de 2017 suscite de vives réactions.
Le parti Les Républicains a réinvesti quasiment tous ses députés sortants pour les élections législatives de 2017.
Il s'est sorti de la polémique sur sa supposée double-casquette de candidat et de président de parti, garde le contrôle des investitures des législatives et profite de l'enlisement de l'exécutif dans la polémique sur l'interdiction de manifester.
Jean-Michel Aphatie est revenu sur le choix des Républicains d'investir Patrick Balkany pour les législatives.
Bruno Le Maire a jugé dimanche que "Nicolas Sarkozy fait ce qu'il veut", en restant président du parti Les Républicains, là où d'autres candidats accusent l'ancien chef de l'état de se service des moyens du parti pour sa campagne.
Dans une interview au Figaro publiée samedi, le candidat de la primaire à droite "accuse Hollande de faiblesse coupable vis-à-vis de l'extrême gauche".
La proposition de mettre en rétention, par précaution, des individus fichés S pour islamisme les plus dangereux, fait pourtant débat au sein même des Républicains.
"Nous sommes en état d'urgence. Le gouvernement a le pouvoir de le faire", a estimé l'ancien Premier ministre mercredi.
Il est le douzième candidat à se déclarer pour cette primaire de la droite et entend représenter le gaullisme.
Alain Juppé était l'invité de "Vie Politique", la nouvelle émission de TF1, diffusée dimanche soir.
"Le plus intolérable, c'est cette police de la pensée, qui fait que quand on dit 'islam', on est catalogué islamophobe", a regretté l'ancien chef de l'Etat.
"Président des Républicains", voici le titre par lequel Nicolas Sarkozy souhaite qu'on le présente. Jeudi sur Europe 1, l'ancien président de la République a été très ferme sur son titre.
L'ancien président de la République a estimé sur Europe 1 que le "ça va mieux" de François Hollande était "un mensonge de plus".
Le président des Républicains était l'invité de la Matinale de Thomas Sotto de 7h30 à 9 heures.
Le candidat à la primaire de la droite veut "redonner l'amour de la France" et "le sentiment de partager une communauté de destin".
Ses rivaux l'accusent de faire campagne pour la primaire tout en restant chef de parti. Une position ambigüe sur laquelle joue Nicolas Sarkozy, et qu'il peut conserver jusqu'à la fin de l'été.
"Avoir tous les candidats autour de la table" serait "plus claire pour tout le monde", a estimé mardi le député de la Marne.