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Coupe du Monde : Macron salue "l'enthousiasme" des Français autour des Bleus

Europe1 .fr avec AFP - Mis à jour le . 1 min
"L'Europe est en finale, c'est une très bonne nouvelle", a précisé le président, qui se rendra dimanche à Moscou pour assister au match.
"L'Europe est en finale, c'est une très bonne nouvelle", a précisé le président, qui se rendra dimanche à Moscou pour assister au match. © Alberto PIZZOLI / AFP

Le président français s'est refusé à "tout pronostic" sur le résultat de ce match car, a-t-il confessé jeudi, "je suis superstitieux".

Emmanuel Macron s'est félicité jeudi que l'équipe de France soit soutenue "par tout un pays", avec "beaucoup d'enthousiasme", avant la finale de la Coupe du monde de football contre la Croatie dimanche. Le président français s'est refusé à "tout pronostic" sur le résultat de ce match car, a-t-il confessé, "je suis superstitieux".

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"Tout un pays derrière" les Bleus. "Il y aura tout un pays derrière (les Bleus), avec beaucoup de force, d'enthousiasme et sans doute un peu de fébrilité. Avec la volonté de rapporter la coupe et une deuxième étoile" de champions du Monde après le titre de 1998, a-t-il ajouté à l'issue du sommet de l'Otan à Bruxelles. "L'Europe est en finale, c'est une très bonne nouvelle", a précisé le président, qui se rendra dimanche à Moscou pour assister au match , comme il l'avait fait mardi pour la demi-finale France-Belgique (1-0) à Saint-Petersbourg.

La présidente croate confiante. Il retrouvera à Moscou la présidente croate Kolinda Grabar-Kitarovic, présente elle aussi à Bruxelles. "Nous allons gagner!", a-t-elle prédit, tout sourire, en arrivant jeudi matin au siège de l'Otan. En marge de la finale, Emmanuel Macron s'entretiendra aussi avec son homologue russe Vladimir Poutine des questions bilatérales et régionales comme l'Ukraine.

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"Il y a une volonté d'essayer d'enclencher une désescalade", a-t-il indiqué. "Il ne peut pas y avoir de renonciation aux accords de Minsk et ce que nous avons décidé en termes de sécurité dans la région", selon le président, soucieux de "maintenir la discussion permanente" avec Moscou pour "aller vers une forme de normalisation".