Obsèques dans l'Hérault du jeune rugbyman Louis Fajfrowski
Des proches et des officiels des instances du rugby français étaient présents vendredi aux obsèques de Louis Fajfrowski, dans l'Hérault, mort à la suite d'un choc lors d'un match.
Dans le recueillement et la tristesse, au moins quelque 400 personnes devaient vendredi assister en l'église Saint-Jacques de Fabrègues, dans l'Hérault, aux obsèques de Louis Fajfrowski, un jeune rugbyman d'Aurillac décédé brutalement il y a une semaine à l'âge de 21 ans. Vers 14h30, une cérémonie religieuse a débuté en présence de la famille et des proches du jeune homme, ainsi que des joueurs des clubs d'Aurillac, de Saint-Jean-de-Védas, le premier club de Fajfrowski, et de Montpellier parmi lesquels Fulgence Ouedraogo, Kelian Galletier et Yvan Reilhac.
Bernard Laporte, le président de la Fédération française de rugby, Serge Simon, le vice-président, Mohed Altrad, le président du MHR, de même que Robins Tchale-Watchou, président du syndicat des joueurs de rugby professionnels, et Paul Goze, le président de la Ligue nationale de rugby, étaient également présents.
[HOMMAGE]
— Stade Aurillacois (@SArugbyofficiel) 17 août 2018
Avant de rendre un ultime hommage à Louis Fajfrowski, ce dimanche à Jean Alric,les joueurs du @SArugbyofficiel,le staff et les dirigeants vont assister aujourd'hui à ses obsèques. Une journée difficile qui permettra d'honorer la mémoire de Louis, à jamais Rouge et Bleu. pic.twitter.com/dC25G9RVFG
Vive émotion de la famille et des proches de Louis Fajfrowski à l'arrivée du convoi funéraire pic.twitter.com/Vysf8t4B53
— Midi Libre Sports (@MidiLibreSports) 17 août 2018
Un choc lors d'un match. Fabrègues, dans la périphérie de Montpellier, est le village natal du jeune joueur décédé à la suite d'un choc subi au cours d'un match amical, un plaquage jugé régulier par tous les observateurs. Le jeune trois-quarts centre avait succombé après un malaise dans les vestiaires du stade Jean-Alric. Sur les causes de ce décès brutal qui a endeuillé le monde du rugby, l'autopsie réalisée lundi n'a pas permis de déterminer les causes de la mort , selon le parquet d'Aurillac. Des analyses complémentaires ont été ordonnées dont les résultats ne seront pas connus avant un mois et demi à deux mois.