«A force de privilégier les droits individuels, on en vient à mettre en danger la communauté», affirme Éric Naulleau
Trois femmes ont été agressées dans le métro parisien par un Malien sous OQTF, qui a enfreint son assignation à résidence. Dans "Eliot Deval et vous", le journaliste Éric Naulleau estime qu'"à force de privilégier les droits individuels, on en vient à mettre en danger la communauté".
Un homme de nationalité malienne a agressé et blessé par arme blanche trois femmes dans le métro parisien ce vendredi 26 décembre. Ce dernier est sous OQTF et assigné à résidence, faute d'obtention d'un laissez-passer consulaire vers le Mali. Il a été arrêté et placé en garde à vue le vendredi au soir.
Dans l'émission Eliot Deval et vous, le journaliste Éric Naulleau exprime sa "pensée pour tous ceux qui vont essayer de nous expliquer que ça relève du fait divers et non pas du fait de société, quand ça se répète aussi régulièrement, dans les mêmes conditions".
"Ces gens représentent une menace pour la communauté"
Et ce en raison d'une "machine administrative française" défaillante. "C'est une machine à produire des drames en fait. C'est une machine qui ne se remet jamais en cause et qui produit ce genre d'individus à la chaîne", déplore le journaliste.
"Je pense qu'il faut maintenant de toute urgence éloigner ces individus de la métropole, c'est-à-dire les mettre dans des territoires, alors pas Saint-Pierre-et-Miquelon comme l'avait proposé Laurent Wauquiez, parce qu'il y a des gens qui habitent là, je trouve ça irrespectueux, mais des territoires beaucoup plus déserts qui appartiennent à la France", propose Éric Naulleau.
Pour le journaliste, il faut éloigner ces profils car "ces gens représentent une menace pour la communauté. (...) Il faut protéger la communauté contre ce genre d'individus". Car selon lui, les "droits individuels" de ces personnes sont privilégiés face au "droit collectif", mettant ainsi "en danger la communauté", qui ici "a été représentée par ces trois femmes" agressées dans le métro.
Éric Naulleau ajoute que ce type d'histoire se répétera encore, et "sera incarnée demain par quelqu'un d'autre". Avant de conclure que "le premier devoir de l'État, c'est de protéger les citoyens français".