Coronavirus : 27.529 morts, les réanimations toujours en baisse

Coronavirus
Le bilan de la pandémie dépasse les 27.500 morts en France. © AFP
  • Copié
avec AFP , modifié à
Le bilan de la pandémie est de 27.529 morts en France, soit 104 décès supplémentaires. Les réanimations continuent cependant de baisser, avec 96 cas graves en moins. 

La France a enregistré 104 nouveaux décès en 24 heures dus à l'épidémie de coronavirus, mais le nombre de patients en réanimation continue de baisser, selon le bilan de la Direction générale de la santé vendredi soir.

Le coronavirus a fait au moins 27.529 morts depuis le 1er mars, dont 118 depuis jeudi dans les hôpitaux, mais la pression sur les services de réanimation continue de se réduire, avec 2.203 cas graves et un solde négatif de 96 malades par rapport à jeudi, a-t-elle précisé.

Depuis le 1er mars, le nombre de décès liés au coronavirus dans les hôpitaux atteint 17.342. Dans les établissements sociaux et médicosociaux dont les Ehpad, 10.187 morts ont été comptabilisés depuis le début de la crise, chiffre qui a dû être révisé à la baisse depuis jeudi (-14 décès) en raison de corrections apportées par plusieurs établissements d'Ile-de-France, précise la DGS.

"144 signalements de maladies systémiques atypiques pédiatriques"

À ce jour, 19.861 personnes sont toujours hospitalisées pour coronavirus avec 438 nouvelles admissions enregistrées en 24 heures. Depuis le début de l'épidémie en France, 98.192 personnes sont passées par les hôpitaux, dont plus de 17.000 en réanimation, mais 60.448 personnes sont rentrées à domicile.

Par ailleurs, la DGS revient sur le décès d'un enfant de 9 ans à Marseille et note que "144 signalements de maladies systémiques atypiques pédiatriques" ont été effectués depuis le 1er mars. "En France et dans d'autres pays, des cas de syndrome apparenté à la maladie de Kawasaki" ont été relevés, qui touchent des enfants plus âgés que normalement affectés par ce mal: dans les cas mentionnés, les enfants touchés ont entre 5 et 20 ans, raison pour laquelle la DGS préfère parler de "pseudo-maladie de Kawasaki".