A l'étranger, Valérie Trierweiler multiplie les indiscrétions

© Capture BBC
  • Copié
Louis Hausalter , modifié à
FLORILÈGE - En tournée promotionnelle pour son livre, l'ex-compagne de François Hollande n'est pas avare en révélations. Et continue à égratigner Hollande.

Elle n'a accordé aucune interview à la presse française lors de la sortie de son livre. Mais à l'étranger, Valérie Trierweiler se lâche. L'ex-compagne de François Hollande est en tournée promotionnelle pour la sortie de Merci pour ce moment en douze traductions. L'occasion de livrer quelques confidences inédites aux médias étrangers.

>> LIRE AUSSI - Valérie Trierweiler : merci pour ce gros chèque

Le "mensonge" de Hollande. Valérie Trierweiler a ainsi confié au quotidien italien La Repubblica que François Hollande est venu la voir "il y a quelques jours". "Il voulait me dire qu'il ne m'en voulait pas pour le livre. Et il voulait m'assurer que Julie Gayet ne vient jamais à l'Élysée. À l'évidence, le mensonge nous a accompagnés jusqu'à la fin", affirme-t-elle. Le magazine Voici a publié vendredi des photos montrant François Hollande et Julie Gayet attablés, ensemble, dans le jardin de l'Elysée... Autre confidence de Valérie Trierweiler : "un homme politique est toujours dans la conquête. Il m'a dit : 'je te reconquerrai, comme si j'étais une élection".

>> LIRE AUSSI - Photos volées avec Gayet : Hollande n'attaquera pas Voici

Pas de "tentative de suicide". Dans une interview à la BBC, Valérie Trierweiler revient sur le moment où Closer révéla la relation Hollande-Gayet, en janvier dernier. "Je n'ai pas vu les photos tout de suite parce que je ne voulais pas les voir", explique-t-elle. "J'ai fait ce que je raconte dans le livre, j'ai pris quelques somnifères. Ce n'était pas du tout une tentative de suicide, c'était simplement une tentative de sommeil", poursuit-elle, pour "ne pas avoir conscience de cette réalité-là". Quant aux photos publiées par Closer, "je ne les ai même pas toutes vues encore", assure Valérie Trierweiler. "Je ne peux pas les voir".

Des sédatifs pour l'empêcher d'accompagner Hollande. Dans une interview au journal britannique Times Magazine, Valérie Trierweiler évoque également son admission à l'hôpital, lorsque François Hollande lui  a avoué l'avoir trompée. Elle est convaincue qu'on lui a administré un supplément de sédatifs pour l'empêcher d'accompagner le chef de l'Etat à Tulle, le 19 janvier. "C'est le médecin lui-même qui me l'a dit le lendemain", explique-t-elle.

Pas une "vengeance". L'ex-première dame a assuré à la BBC que son livre n'était "pas une vengeance". "Ce n'est pas pour le détruire, c'est pour me reconstruire moi", justifie-t-elle à propos de François Hollande.

Elle se sent espionnée. Depuis sa rupture avec François Hollande, Valérie Trierweiler dit se sentir surveillée par l'Elysée. Le président lui aurait envoyé des fleurs dans des hôtels au Maroc et aux Etats-Unis. "Il m'a dit : 'je saurai toujours te trouver'", raconte-t-elle à La Repubblica. Et affirme que le chef de l'Etat l'a "bombardée de textos et d'e-mails" pour la supplier de revenir.

Un nouveau chapitre à paraître. Valérie Trierweiler confirme au Times qu'elle ajoutera un nouveau chapitre à l'édition de poche de son livre, publié aux éditions des Arènes. Elle poursuit : "Il est important que mon livre devienne un best-seller, mais pas pour des raisons financières. C'est pour que chaque lecteur puisse me dire 'maintenant nous comprenons ce que vous avez vécu, nous comprenons qui vous êtes'".

>> LIRE AUSSI - L'éditeur du livre de Valérie Trierweiler s'explique