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Alexis Patri
Interrogé sur le tacle que lui avait adressé son collègue Thomas Voeckler au début du Tour de France, le journaliste sportif Alexandre Pasteur assure mercredi au micro de Philippe Vandel que "l’événement", repéré avec humour par notre humoriste Bertrand Chameroy, n'a pas laissé de trace dans la relation entre les deux hommes.
INTERVIEW

"L'ambiance est-elle bonne dans l'équipe qui suit le Tour de France ?" La question de Philippe Vandel au journaliste sportif Alexandre Pasteur, invité mercredi de Culture Médias, peut sembler anodine. Elle se justifie pourtant au vu de la séquence, pointée avec drôlerie par notre chroniqueur Bertrand Chameroy, durant laquelle son collègue, l'ancien coureur Thomas Voeckler, définissait l'une de ses questions comme une "question con", sous les rires du reste de l'équipe. Alexandre Pasteur réagit à ce moment de "crispation" au micro d'Europe 1. 

Thomas Voeckler "badin et déconneur"

Le journaliste assure que la séquence polémique n'est qu'un épiphénomène. "Chaque semaine, le Tour de France, c'est 110 heures d'antenne, 130 si je rajoute Vélo Club. Et vous, vous retenez les 10 secondes de crispation", compte-t-il. Selon le journaliste sportif, les relations entre lui et Thomas Voeckler sont très bonnes. "Il n'y a pas eu besoin d'explication, moi aussi ça m'a fait rire. Nous sommes très vite passés à autre chose. Je me suis un peu raidi sur mon siège, reconnait-il. Mais ça n'a pas duré plus de 10 secondes."

Alexandre Pasteur ne réagit pas à la suite de cette séquence, où dans Vélo Club son collègue Franck Ferrand dit à son sujet "Il ne l'a pas bien pris du tout, il est presque sorti du plateau". Alexandre Pasteur se veut rassurant sur l'ambiance en interne. Il explique pour finir que "Si vous regardez le Tour, vous voyez bien que l'ambiance est bonne et que Thomas a gardé son côté badin et déconneur sur la moto. Tout va très bien, on se marre bien et c'est l'essentiel."